DU LEVANT : LIBAN -SYRIE-JORDANIE- ISRAËL-PALESTINIENS ! ISRAËL !

http://www.lemonde.fr/international/article/2014/05/24/le-pape-francois-en-terre-sainte-entre-religion-et-diplomatie_4425051_3210.html

Le pape François en Terre sainte, entre religion et diplomatie

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Le souverain pontife entame un voyage de trois jours en Jordanie, Israël et Palestine (ici à Bethléem)

 Patriarche orthodoxe et pape

BYZANCE ET PAPE : PATRIARCHE ORTHODOXE DE LA ROME ORIENTALE ET PAPE DE LA ROME OCCIDENTALE !

Le souverain pontife entame un voyage de trois jours en Jordanie, Israël et Palestine (ici à Bethléem) | AFP/THOMAS COEX

Trop court et, pour beaucoup, source de frustrations, le voyage du papeFrançois en JordanieIsraël et dans les territoires palestiniens, du 24 au 26 mai, relève d'un inconfortable numéro d'équilibrisme diplomatique.

Lire aussi : Une visite au Proche-Orient très politique pour le pape

Le pape ne passera que quatre heures avec les autorités politiques et religieuses israéliennes. Un temps limité pour lever les crispations réapparues récemment entre Israël et le Vatican après les attaques d'extrémistes juifs contre des sites chrétiens, l'impasse des discussions concernant la gestion des lieux de culte chrétiens ou bien encore les désaccords sur la résolution du conflit avec les Palestiniens et le statut de Jérusalem.

http://www.lemonde.fr/israel/

Guerre de Gaza : le boycottage contre Israël se renforce en Cisjordanie

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Des enfants palestiniens manifestent, le 12 août à Ramallah, leur solidarité avec les habitants de la bande de Gaza.

 

Des enfants palestiniens manifestent, le 12 août à Ramallah, leur solidarité avec les habitants de la bande de Gaza. | ABBAS MOMANI/AFP

Les pancartes appelant au boycottage se fondent parmi les offres promotionnelles : « Ce magasin a été débarrassé des produits israéliens ». Youssef Sider, responsable marketing des supermarchés Bravo, inspecte les rayons de l'un des magasins situé à Ramallah, et s'arrête devant une rangée de yaourts aux fraises : « Auparavant, il n'y avait ici que des laitages israéliens. Maintenant, c'est une marque locale d'Hébron, Al-Jebrini, qui occupe la place. C'est une grande victoire pour notre boycottage. »

Début août, la principale chaîne de supermarchés de Cisjordanie, suivie par d'autres commerçants, s'est engagée à retirer tous les produits israéliens de ses rayons, en solidarité avec la bande de Gaza, soumise aux bombardements israéliens. Un engagement fort qui s'appuie, par ailleurs, sur le profond ressentiment palestinien qui avait précédé le conflit, après la découverte, début juillet, du corps carbonisé du jeune Palestinien Mohammed Abou Khdeir, tué par des juifs extrémistes présumés.

« Les racines sont plus profondes encore. Nous chassons l'occupation des estomacs palestiniens, poursuit M. Sider,...

http://www.lemonde.fr/international/article/2014/08/22/violente-campagne-en-israel-contre-la-commission-d-enquete-de-l-onu_4475305_3210.html

Violente campagne en Israël contre la commission d'enquête de l'ONU

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Benyamin Nétanyahou, le 20 août à Tel Aviv.

La nomination, le 11 août, du Canadien William Schabas à la tête de la commission d'enquête sur la guerre à Gaza a été, pour Israël, la confirmation de la partialité du Conseil des droits de l'homme des Nations unies (OHCHR). Déjà peu disposé à coopérer avec l'organisation, le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, s'est lancé deux jours plus tard, devant le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, dans une violente diatribe contre l'OHCHR, accusé d'avoir « déjà écrit son rapport ».

« Au lieu de vérifier les attaques du Hamas contre les civils israéliens et l'utilisation des résidents de Gaza comme boucliers humains, au lieu d'enquêter sur le massacre perpétré par le président Assad en Syrie, et le massacre de Kurdes par les membres de l'Etat islamique, l'ONU a décidé devenir enquêter sur Israël, la seule démocratie au Proche-Orient, une démocratie qui agit en toute légitimité pour protéger ses citoyens du terrorisme meurtrier », a-t-il dit.

Lire : Guerre de Gaza : le droit international a été violé

Dès sa nomination connue, la campagne de délégitimation de M. Schabas a commencé dans la presse israélienne. Le professeur de droit international ne pouvait pas s'attendre à recevoir un autre accueil, au vu de ses déclarations passées. En janvier 2013, il avait déclaré que « son plus grand plaisir serait de voir Nétanyahou sur les bancs de la Cour pénale internationale ». En 2010, il avait exprimé le même souhait à l'égard du président israélien, Shimon Pérès, après l'opération « Plomb durci » dans la bande de Gaza (2008-2009). Il avait d'ailleurs salué le rapport rendu par la commission Goldstone, qui avait conclu que Tsahal, ainsi que les groupes armés palestiniens, s'étaient rendus coupables d'actes pouvant constituer des « crimes de guerre », voire « des crimes contre l'humanité ».

 

Un enfant palestinien dans une école de l'ONU, à Jabalia, dans la bande de Gaza, le 17 août.

 

Disant avoir le sentiment de servir de « paratonnerre », William Schabas est venu couper court à une campagne manquant de tourner au lynchage médiatique. « Je vais laisser mes idées devant la porte, elles ne sont pas pertinentes pour le travail qu'il m'est donné de faire. Je vais essayer de lefaire le plus objectivement et indépendamment possible », a-t-il assuré à la deuxième chaîne de la télévision israélienne. Indépendamment du président nommé à sa tête, « ses détracteurs (…) voudraient juste voir la commission disparaître », a-t-il estimé. Il a appelé Israël à coopérer, dans son intérêt, avec la commission. Cette dernière a jusqu'au 15 mars 2015 pour rendre son rapport sur les violations supposées du droit international dans les Territoires palestiniens depuis le 13 juin 2014.

COOPÉRER OU BOYCOTTER

Alors que la guerre n'est pas terminée, le gouvernement israélien doit déciderquelle stratégie adopter pour sa défense : coopérer ou boycotter. En coopérant, il prend le risque à terme d'une mise en accusation pour « crimes de guerre » de responsables politiques et militaires israéliens. Le mandat conféré à la commission stipule que ses conclusions peuvent être soumises à la Cour pénale internationale. Mais M. Nétanyahou espère délégitimer par avance les conclusions de cette commission. Boycotter l'enquête pourrait, par ailleurs, être coûteux en termes d'image sur la scène internationale.

Lire : L’exécutif palestinien hésite à saisir la la Cour pénale internationale

Des experts juridiques ont été mobilisés pour préparer le dossier au sein des ministères de la justice et des affaires étrangères. Une unité de l'armée a été affectée à la collecte de preuves de violations du droit international par le Hamas. Dans les médias, M. Nétanyahou affûte ses arguments de défense. Accusant le Hamas de se cacher au sein de la population, il décline toute responsabilité dans la mort de civils à Gaza et se défend d'avoir fait un usage disproportionné de la force face à la menace « terroriste ».

Des voix en Israël suggèrent que le gouvernement opte pour une troisième voie, comme il l'avait fait en créant la commission Turkel, pour enquêter sur l'assaut contre la flottille turque du Mavy-Marmara en 2010. Cette commission indépendante israélienne, à laquelle étaient associés des observateurs internationaux, avait écarté toute erreur du gouvernement et de l'armée.

http://www.lemonde.fr/international/article/2014/08/05/tout-au-long-du-conflit-israelo-palestinien-washington-a-fait-la-preuve-de-son-impuissance-diplomatique_4466928_3210.html

Tout au long du conflit israélo-palestinien, Washington a fait la preuve de son impuissance diplomatique

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La Maison Blanche et le département d'Etat avaient vivement critiqué la violation imputée au Hamas de la première tentative de cessez-le-feu de soixante-douze heures, qualifiant cette violation d'« horrible » et de « barbare ».

La Maison Blanche et le département d'Etat avaient vivement critiqué la violation imputée au Hamas de la première tentative de cessez-le-feu de soixante-douze heures, qualifiant cette violation d'« horrible » et de « barbare ». | AFP

C'est pratiquement en spectateurs que les Etats-Unis se sont félicités, lundi 4 août, de l'annonce par l'Egypte d'un nouveau cessez-le-feu de soixante-douze heures à Gaza entre l'armée israélienne et le Mouvement de la résistance islamique (Hamas). Ce cessez-le-feu était toujours respecté par les deux forces en présence, mardi matin. Signe de cette absence de prise sur les événements, trois jours plus tôt, le vendredi 1er août, après un premier échec de trêve sur le terrain, le président des Etats-Unis, Barack Obama, avait jugé « très difficile » la perspective de parvenir à une nouvelle pause dans les combats, en dépit du nombre déjà très élevé de victimes civiles palestiniennes et des réactions internationales que celui-ci suscitait.

Lire aussi le reportage : L'armée israélienne se retire de Gaza en ruines

Ce même vendredi, la Maison Blanche et le département d'Etat avaient vivement critiqué la violation imputée au Hamas de la première tentative de cessez-le-feu de soixante-douze heures, qualifiant cette violation d'« horrible »et de « barbare ».

Deux jours plus tard, après des cas similaires, le bombardement par l'armée israélienne d'une école de l'agence des Nations unies chargée des réfugiés palestiniens, l'UNRWA, suscitait presque la même réaction de la porte-parole de la diplomatie américaine, Jennifer Psaki, qui le jugeait « scandaleux ».

EXPRESSIONS D'INDIGNATION SYMBOLIQUES

Autant d'expressions d'indignation symboliques de l'impuissance à la...

 

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