BARACK OBAMA : NOUVEAU FLAMBI DE LA SCèNE INTERNATIONALE ! LE ROI DU NORD !

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VIDEO. Barack Obama est-il le nouveau "Flamby" de la scène internationale?

Par LEXPRESS.fr, publié le 

Le président américain avoue ne pas avoir encore de stratégie en Syrie pour contrer l'Etat islamique. Il exclut tout recours à la violence à court terme, de même qu'en Ukraine. 

VIDEO. Barack Obama est-il le nouveau "Flamby" de la scène internationale?

Barack Obama en conférence de presse à Washington le 28 aout 2014 a reconnu sans détour que les Etats-Unis n'avaient "pas encore de stratégie" et n'étaient pas prêts à ce stade à attaquer l'Etat islamique (EI) en Syrie

Alors que François Hollande est souvent raillé en France pour ses tergiversations et son incapacité à trancher, Barack Obama semble adopter le même profil sur les questions internationales. Alors que la situation au Moyen-Orient se dégrade toujours plus - on a appris jeudi l'exécution de 160 soldats syriens par l'Etat islamique - le président américain a reconnu jeudi ne pas avoir "encore de stratégie" en Syrie

Après trois semaines de bombardements dans l'Irak voisin contre les positions des jihadistes ultra-radicaux, le président américain a souligné qu'il travaillait sur un projet à la fois militaire et diplomatique pour vaincre l'Etat Islamique (EI) sur la durée, martelant que ce ne serait "ni rapide, ni facile". 

Mais il a exclu des frappes à court terme en territoire syrien à l'issue de plusieurs jours d'intenses spéculations, alimentées par des déclarations de responsables du Pentagone mettant en garde contre un groupe qui dispose d'un "savoir-faire militaire tactique et stratégique sophistiqué" et va "bien au-delà" de toute autre menace terroriste. 

"Nous avons besoin d'un projet clair"

Face à un mouvement qui affiche sa volonté d'établir un "califat" à cheval entre Irak et Syrie, le Pentagone travaille sur différentes options qui permettraient de répondre aux djihadistes des deux côtés d'une frontière que ces derniers cherchent à effacer. "Nous avons besoin d'un projet clair", a reconnu Barack Obama lors d'une conférence de presse à la Maison Blanche avant de réunir une nouvelle fois dans la soirée les membres de son Conseil de sécurité nationale. 

A l'unisson de François Hollande jeudi à la Conférence des ambassadeurs, Barack Obama a par ailleurs estimé que les Etats-Unis n'avaient pas à faire de choix entre le régime de Bachar el-Assad d'une part et les djihadistes de l'Etat islamique d'autre part. Il y a quelques jours, Damas a fait une offre de service à Washington, le régime de Bachar el-Assad se disant prêt à coopérer. 

Les propos du président ont suscité de vives réactions dans le camp républicain. "Cela confirme ce que nous disons depuis près de deux ans: il n'y pas de réelle stratégie", a souligné Mike Rogers, président de la commission du Renseignement de la Chambre des représentants. "Tout le monde sait que vous ne pouvez arrêter l'IE en Irak (...) sans toucher à ce qui est considéré comme leur base, leur capitale, dans l'Est de la Syrie". 

Il y a un an déjà, pas de représailles aux armes chimiques

Barack Obama a par ailleurs souligné sa volonté d'associer étroitement le Congrès à une éventuelle action militaire en Syrie. "Mais je ne veux pas placer la charrue avant les boeufs. Il est inutile que je sollicite le Congrès avant que je sache exactement ce que nous devons faire pour atteindre nos objectifs". 

Il y a un an déjà, le président américain avait annoncé que les Etats-Unis étaient prêts à frapper des cibles du régime syrien après le recours de Bachar el-Assad à son arsenal chimique. Mai le 31 août 2013, virevolte: il décidait de soumettre cette décision à un vote du Congrès, écartant de facto une action militaire à court terme. Le vote, qui s'annonçait extrêmement difficile, n'avait finalement pas eu lieu, les frappes ayant été abandonnées après une proposition russe de destruction des armes chimiques syriennes

Dans son interview du 20 août, parue dans Le Monde, François Hollande était allé jusqu'à critiquer entre les lignes la passivité de Barack Obama en Syrie: "Si, il y a un an, il y avait eu une réaction des grandes puissances à la hauteur de l'utilisation des armes chimiques, nous n'aurions pas été face à ce choix terrible entre un dictateur et un groupe terroriste, alors que les rebelles méritent tout notre soutien". 

La violence exclue sur le dossier ukrainien

Sur le dossier ukrainien, même retenue de Barack Obama. Même s'il "est évident aux yeux du monde entier" que des forces russes se trouvent en Ukraine, il a exclu tout recours à la force pour "résoudre le problème". "L'incursion russe qui se déroule à l'heure actuelle en Ukraine ne peut qu'engendrer" des sanctions supplémentaires à l'encontre de la Russie, a ajouté le président américain. 

 

 

Un peu plus tôt, le département d'Etat avait pourtant dit n'exclure "aucune option" quant à une éventuelle aide militaire américaine à Kiev. L'Ukraine a demandé jeudi aux Occidentaux des "sanctions significatives" et une aide militaire "d'envergure", faisant craindre une guerre ouverte entre la Russie et l'Ukraine. 

 

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