"Tous les Alliés sont résolus et unis contre le terrorisme", a affirmé M. Rasmussen lors d'un discours prononcé à Bruxelles à l'invitation de l'institut Carnegie Europe. "Ce groupe (...) rejette nos sociétés libres. Ils sont violemment et haineusement anti-occidentaux (...) Ils vont saisir toutes les opportunités pour s'attaquer à nos valeurs et imposer leur vision rétrograde du monde", a-t-il martelé. "Il faut une réponse militaire pour vaincre et détruire cette organisation", a plaidé M. Rasmussen, alors qu'une conférence internationale réunissait à Paris une vingtaine de pays pour définir le rôle de chacun dans

la coalition internationale voulue par Washington, qui combat depuis début août cette organisation ultra-violente par des frappes aériennes en Irak

 

Rester unis contre la Russie également

M. Rasmussen, qui doit quitter ses fonctions à la fin du mois, a par ailleurs décrit "un nouvel âge de troubles et de révisionnisme", également en raison de l'attitude agressive de la Russie dans l'est de l'Europe. Moscou "a piétiné toutes les règles et engagements qui ont garanti la paix en Europe et au-delà depuis la fin de la Guerre froide", a-t-il dénoncé. "Le schéma est évident. De la Moldavie à la Géorgie, et maintenant en Ukraine, la Russie a utilisé la pression économique et les actions militaires pour produire de l'instabilité. Pour fabriquer des conflits et pour diminuer l'indépendance de ses voisins", a-t-il déclaré. "Nous devons rester forts et unis pour défendre notre liberté grâce à la défense collective" entre Alliés, principe de base de l'OTAN qui veut que tous ses membres répliquent si l'un des leurs est attaqué, a-t-il ajouté.

L'ancien Premier ministre norvégien Jens Stoltenberg doit remplacer M. Rasmussen au poste de secrétaire général de l' OTAN à partir du 1er octobre.

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