DESCRIPTION DE L'ENFER ! LE ROYAUME DES TéNèBRES EST GOUVERNé PAR UNE TRIADE !? CEUX QUI DISENT NON AU PLAN DU SALUT GROSSISSENT SES RANGS
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Tout ce que Jésus te donne à voir et souffrir des tourments de l'enfer est pour que tu puisses les faire connaître au monde
Extrait de vie de Soeur Josefa Menéndez (1890-1923)
Jésus-Christ s'est apparu souvent pendant les années 1921-22 et 23 à soeur Josefa Menéndez, une religieuse de la Société du Sacré Coeur de Jesus. Ses Mémoires sont publiées dans un livre de plus de 500 pages intitulé : Un appel à l'Amour.
Dans ce Livre on explique la persistance de Jésus en sauver nos âmes par la rencontre avec Son amour avant "le rapprochement des derniers jours du monde". Soeur Josefa écrit avec une grande réticence sur le sujet de l'enfer.
Elle l'a seulement fait pour conformer les désirs bénis de Notre Seigneur.
Notre Dame l'a dit le 25 octobre de 1922 : "Tout ce que Jésus te donne à voir et souffrir des tourments de l'enfer est pour que tu puisses les faire connaître au monde. Par conséquent, oublie-toi complètement de toi même, et pense à la gloire du salut des âmes."
Jésus a tenu à le donner à Josefa pour lui montrer, à l'entrée de la grande épreuve, qu'Il est bien là, toujours le Même.
Visite de l'Enfer
" Dans la nuit du mercredi au jeudi 16 mars, vers dix heures - écrit-elle - je commençai à entendre, comme les jours derniers, un bruit confus de cris et de chaînes. Je me levai, je m'habillai et, tremblante de peur, je me mis à genoux près de mon lit. Le bruit se rapprochait. Je sortis du dortoir, ne sachant que faire, j'allai à la cellule de notre bienheureuse Mère, puis je revins au dortoir.
Le même bruit terrible m'environnait toujours. Tout à coup, je vis le démon en face de moi, il criait : "Attachez-lui les pieds... liez-lui les mains...."
"Instantanément, je ne vis plus où j'étais, je sentis qu'on me liait étroitement et que l'on m'entraînait. D'autres voix rugissaient :
"Ce ne sont pas les pieds qu'il faut lui attacher, c'est le cœur! "
"Et le démon répondait :"Il n'est pas à moi! "
" Alors, on me tira à travers un long chemin plongé dans l'obscurité. Je commençai à entendre de toutes parts des cris horribles. Dans les parois de cet étroit corridor, les unes en face des autres, il y avait comme des niches d'où sortait de la fumée presque sans flamme, et dont l'odeur était intolérable. De là, des voix proféraient toutes sortes de blasphèmes et des paroles impures. Les unes maudissaient leur corps, les autres leurs parents. D'autres se reprochaient de n'avoir pas profité de l'occasion ou de la lumière pour abandonner le mal. Enfin, c'était une confusion de cris pleins de rage et de désespoir.
" ... Je fus tirée à travers cette sorte de corridor qui n'avait pas de fin. Puis, on me donna un coup violent qui m'enfonça, pliée en deux, dans une de ces niches. Je me sentis comme pressée entre des planches incendiées et transpercée de part en part d'aiguilles brûlantes. En face de moi, à côté de moi, des âmes me maudissaient et blasphémaient. C'est ce qui me fit souffrir le plus.... Mais ce qui ne peut avoir de comparaison avec aucun tourment, c'est l'angoisse de l'âme de se voir séparée de Dieu....
" Il me semble que j'ai passé de longues années dans cet enfer - poursuivent les notes - et cependant cela n'a duré que six ou sept heures.... Tout à coup, on me retira violemment et je me trouvai dans un lieu obscur où le démon, après m'avoir frappée, disparut et me laissa libre.... Je ne puis dire ce que je sentis dans mon âme, quand je me rendis compte que j'étais vivante et que je pouvais encore aimer Dieu!
" ... Pour éviter cet enfer et bien que j'aie si peur de souffrir, je ne sais ce que je suis prête à endurer. Je vois clairement que toutes les souffrances du monde ne sont rien en comparaison de la douleur de ne pouvoir plus aimer, car là on ne respire que haine et soif de la perte des âmes!..."
Dès lors, Josefa connaît fréquemment cette douleur mystérieuse. Tout est mystère, en effet, dans ces longues séances de l'Au-delà ténébreux. Elle les pressent chaque fois par ces bruits de chaînes et ces cris lointains qui se rapprochent, l'environnent et l'accablent. Elle essaie de fuir, de se distraire, de travailler pour échapper à cette ruée diabolique qui finit cependant par la terrasser.
Elle a juste le temps de se réfugier dans sa petite cellule, mais bientôt, elle n'a plus conscience de ce qui l'entoure. Elle se trouve d'abord dans ce qu'elle appelle "un lieu obscur ", en face du démon qui semble croire qu'elle est en son pouvoir pour toujours. Il ordonne avec violence qu'on la jette en son lieu et Josefa, liée étroitement, tombe dans ce chaos de feu et de douleurs, de rage et de haine.
Elle note tout cela simplement et objectivement, tel qu'elle le voit, l'entend, l'expérimente.
À l'extérieur, un léger tressaillement à seul annoncé ce départ mystérieux. À l'instant même, son corps est devenu entièrement souple et sans consistance, comme celui dont la vie a disparu depuis quelques minutes à peine. Sa tête, ses membres, ne se soutiennent plus, son cœur bat cependant normalement: Josefa vit comme sans vivre.
Cet état se prolonge plus ou moins, selon la volonté de Dieu qui la livre ainsi à l'enfer, mais la garde dans sa Main très sûre. À l'instant fixé par Lui, un nouveau et très imperceptible tressaillement, et son corps abandonné retrouve la vie. Elle n'est cependant pas délivrée de la puissance du démon dans ce lieu sombre où il l'accable de menaces.
Quand il l'abandonne enfin et qu'elle revient lentement à elle, les heures passées en enfer lui ont paru des siècles. Elle ne reprend contact que peu à peu avec les lieux et les personnes qui l'entourent. " Où suis-je?... qui êtes-vous? est-ce que je vis encore ? ... " - demande-t-elle. - Ses pauvres Yeux cherchent à retrouver le cadre d'une vie qui lui semble si loin dans le passé parfois, de grosses larmes coulent silencieusement, tandis que sa physionomie porte l'empreinte d'une douleur que rien ne peut traduire. Elle achève enfin de retrouver le sens de l'actuel et comment exprimer l'émotion intense qui la saisit quand elle réalise soudain qu'elle peut encore aimer!
Elle l'a écrit plusieurs fois en des termes dont la simple ardeur ne peut être interprétée ;
" Dimanche 19 mars 1922, troisième dimanche du Carême. - Je suis encore descendue dans cet abîme, il me semble que j'y demeure de longues années. J'ai beaucoup souffert, mais le plus grand des tourments est de me croire, pour toujours, incapable d'aimer Notre-Seigneur. Aussi, quand je reviens à la vie, je suis folle de joie. Je crois que je L'aime plus que jamais et que, pour le Lui prouver, je suis prête à souffrir tout ce qu'Il voudra. Il me semble surtout que j'estime et que j'aime ma vocation à la folie."
Elle ajoute quelques lignes plus loin :
" Ce que je vois me donne un grand courage pour souffrir. Je comprends le prix des moindres sacrifices: Jésus les recueille et s'en sert pour sauver des âmes. C'est un grand aveuglement d'éviter la souffrance, même en de très petites choses, car non seulement elle est d'un grand prix pour nous, mais elle sert à préserver beaucoup d'âmes de si grands tourments. "
Josefa a essayé par obéissance de tracer quelque chose de ces descentes qui se renouvellent fréquemment à cette époque.
Tout ne pourrait être traduit. Mais quelques pages encore serviront d'enseignement précieux. Elles stimuleront les âmes à se dévouer et à se sacrifier pour le salut de celles qui, chaque jour et à chaque heure, sur le bord de l'abîme, sont l'enjeu d'une lutte tragique entre l'Amour et la haine, le désespoir et la Miséricorde.
" Quand j'arrive en ce lieu - écrit-elle le dimanche 26 mars - j'entends des cris de rage et de joie infernale parce qu'une âme de plus est plongée dans ces tourments ! ...
" Je n'ai plus conscience à ce moment d'être déjà descendue dans l'enfer; il me semble toujours que c'est la première fois. Il me semble aussi y être pour l'éternité et c'est ce qui me fait tant souffrir, car je me rappelle que je connaissais et que j'aimais Notre-Seigneur... que j'étais religieuse, qu'Il m'avait fait de grandes grâces et donné de nombreux moyens pour me sauver. Qu'ai-je donc fait pour perdre tant de biens?... Comment ai-je été si aveugle?...
Et maintenant, il n'y a plus de remède ! ... Je me souviens aussi de mes communions, de mon Noviciat. Mais ce qui me tourmente le plus, c'est que j'aimais tant le Coeur de Jésus! Je Le connaissais et Il était tout mon Trésor.... Je ne vivais que pour Lui ! ... Comment vivre maintenant sans Lui?... sans L'aimer?... enveloppée de ces blasphèmes et de cette haine?
" Mon âme est oppressée et brisée à un point que je ne peux pas expliquer, car c'est indicible.... "
Souvent aussi, elle assiste aux efforts acharnés du démon et de ses satellites pour arracher à la Miséricorde des âmes dont il est sur le point de faire sa proie. Ses souffrances semblent bien être alors, dans les Plans de Dieu, la rançon de ces pauvres âmes qui lui devront la grâce victorieuse du dernier instant.
" Le démon - écrit-elle le jeudi 30 mars - est plus furieux que jamais, car il veut perdre trois âmes. Il criait avec fureur aux autres :
" - Qu'elles ne s'échappent pas... elles s'en vont... allez, allez ferme! "
" Et j'entendais des cris de rage qui lui répondaient de loin."
Deux ou trois jours de suite, elle est témoin de cette lutte.
" Je suppliai Notre-Seigneur de faire de moi tout ce qu'Il voudra, pourvu que ces âmes ne se perdent pas - écrit-elle en revenant de l'abîme, le samedi 1er avril. - Je me tournai aussi vers la Sainte Vierge et Elle me donna une grande paix, car Elle me laissa décidée à souffrir n'importe quoi pour les sauver. Je crois qu'Elle ne permettra pas que le démon ait la victoire. "
Le dimanche 2 avril, dimanche de la Passion, elle écrit de nouveau :
" Le démon criait : " Ne les lâchez pas! Soyez attentifs à tout ce qui peut les troubler... qu'elles ne s'échappent pas ! ... obtenez qu'elles se désespèrent ! ... "
" C'était une confusion de cris et de blasphèmes. Tout à coup, jetant un hurlement de rage, il cria : " Peu importe! il m'en reste encore deux. Enlevez-leur la confiance! "
" Je compris que l'une de ces âmes venait de lui échapper pour toujours." Vite, vite... - rugissait-il - que ces deux-là n'échappent pas ! Saisissez-les, qu'elles se désespèrent ! ... Vite... elles s'en vont! "
" Alors, il se fit dans l'enfer comme un grincement de dents et, dans une fureur indescriptible, le démon rugit :
" - Oh ! Puissance ! ... Puissance de ce Dieu ! ... qui a plus de force que moi!... Une me reste encore... et celle-là je ne Le laisserai pas s'en emparer. "
" L'enfer ne fut plus qu'un cri de blasphème dans un désordre de plaintes et de gémissements. Je compris alors que ces âmes étaient sauvées. Mon cœur fut rempli de joie, quoique dans l'impossibilité de faire un seul acte d'amour, malgré son besoin d'aimer.... Cependant, je ne sens pas cette haine de Notre- Seigneur qu'ont ces malheureuses âmes qui m'entourent, et quand je les entends maudire et blasphémer, c'est une douleur telle, que je souffrirais je ne sais quoi pour qu'Il ne soit plus ainsi outragé et offensé. Ce dont j'ai peur, c'est qu'avec le temps, je ne devienne comme les autres. C'est ce qui me fait tant souffrir, car je me rappelle toujours combien je L'aimais et comme Il était bon pour moi!
" J'ai beaucoup souffert - continue-t-elle - surtout ces derniers jours. C'est comme si un ruisseau de feu passait par ma gorge et traversait tout mon corps, en même temps qu'il se trouve enserré entre des planches de feu, comme je l'ai déjà dit, je ne peux pas exprimer cette douleur, elle est extrême! Il semble que les yeux sortent de leur orbite comme s'ils en étaient arrachés, les nerfs sont tirés, le corps plié en deux ne peut se mouvoir, une odeur infecte envahit tout (1) .... Et cependant, tout cela n'est rien en comparaison de l'âme qui connaît la Bonté de Dieu et se voit obligée de Le haïr, souffrance encore bien plus grande si elle L'a beaucoup aimé! "
D'autres mystères de l'Au-delà vont encore se révéler à Josefa.
L’enfer existe. Nous voudrions tous qu’il n’existe pas, mais il existe bel et bien, tout comme le Ciel existe
Luz Amparo, messagère de L’Escorial (Espagne) . Mai 2000
Luz Amparo : "Et le Seigneur m’a fait voir que les hommes, et même une partie de la hiérarchie (de l’Église), ne respectent pas l’Évangile; et nous-mêmes, le respectons-nous ?
En ce qui concerne la hiérarchie, beaucoup de ses membres prennent dans l’Évangile ce qui leur plaît et omettent ce qui ne leur plaît pas. Et pourtant, toutes les parties de l’Évangile sont Parole de Dieu, il faut donc les respecter et les mettre en pratique.
C’est comme les quinze mystères du Rosaire: quand vient la joie, la joie, quand vient la douleur, la douleur, quand vient la Résurrection, la Résurrection.
Mais ne cachons pas la douleur en fixant notre regard seulement sur la joie et la Résurrection. La Sainte Vierge m’a dit souvent qu’il ne faut pas transformer l’Évangile en métaphores, mais l’accomplir en entier, et ne pas avoir peur de parler de certaines choses qui nous effraient.
Quand l’Évangile nomme l’enfer, il faut en parler; or on a peur aujourd’hui dans l’Église de mentionner l’enfer. Mais l’enfer, ce n’est pas nous qui l’avons inventé. L’enfer existe, c’est un dogme de Foi.
Pourquoi ne disons-nous pas que l’enfer existe ?
Vous savez, on peut se sauver de plusieurs façons: par amour, et c’est le plus parfait, mais aussi par la crainte: certaines personnes se convertissent par la crainte du châtiment et elles parviennent ensuite à mener une bonne vie. Mais s’il est vrai que nous sommes tous sauvés d’avance, comme on l’enseigne aujourd’hui par erreur, il n’y aurait pas besoin de couvents pour prier, puisque nous sommes tous sauvés.
Les Réparatrices, qui se dévouent pour les pauvres vieillards, ce sont des sottes !!!!! Si on est sauvé d’avance, pourquoi faire des choses difficiles qui ne seraient d’aucune utilité pour le salut ?????
Je crois donc que l’Évangile, il faut l’annoncer tel qu’il est.
J’ai vu des personnes importantes qui, pour ne pas avoir voulu parler de l’enfer, ne sont pas arrivées au Ciel, mais je les ai vues bel et bien en enfer. Et cela, c’est très triste. C’est pourquoi, je le répète, le Seigneur dit: "beaucoup sont appelés et peu sont élus”.
Oui, nous devons parler de toutes les parties de l’Évangile, et actuellement nous sommes en train de l’édulcorer. Or l’Évangile a été écrit avec le sang du Christ, donc n’en omettons rien, et n’ayons pas peur de tout dire.
Et aux prêtres, qui peuvent faire tant de bien aux âmes, disons-leur: mes enfants, l’enfer existe. Nous voudrions tous qu’il n’existe pas, mais il existe bel et bien, tout comme le Ciel existe. Et celui qui accumulera des mérites pour gagner le ciel, eh bien, il ira au ciel.
Et celui qui agira différemment, qui voudra vivre une vie de libertinage et de confort, il devra aller en enfer, car il ne se sera privé d’aucun plaisir sur la terre. Donc, tous ensemble, vous et nous, quel que soit l’endroit où nous soyons, nous unirons nos efforts afin que beaucoup d’âmes qui ne connaissent pas Dieu se convertissent et que le Seigneur leur ouvre l’intelligence.
Il est vrai que nous sommes très souvent de vraies bourriques, nous ne comprenons pas, notre entendement ne s’ouvre pas, ou nous ne voulons pas qu’il s’ouvre, mais c’est un manque d’humilité. Là où il y a l’humilité, on reconnaît tout et on comprend tout aussitôt.
Car Dieu est au-dessus de nous tous, et nous, nous devons faire en sorte que Dieu croisse et que nous, nous diminuions. Nous aimons bien avoir une belle image devant les autres, et qu’on reconnaisse nos titres. Mais, mon Dieu, à quoi nous serviront nos titres et nos brillantes études quand nous mourrons? A rien.
La seule chose qui nous servira, c’est le bien que nous aurons fait.
Donc, nous allons demander tous ensemble à Dieu qu’il mette de l’ordre dans nos vies et qu’il nous conduise sur de bons chemins, afin qu’un jour, quand nous arriverons là-haut, nous puissions jouir de la présence de Dieu, nous tous qui sommes ici, en nous voyant tous face à face comme nous nous voyons ici. »
Le royaume des ténèbres est gouverné par une triade et il est hiérarchique
Message de Jésus à Mgr Ottavio Michelini - 13 novembre 1978
Extrait du livre "Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles - Éditions du Parvis
Ces monstres sans amour, incapables même seulement d’imaginer l’amour, ne pourront jamais aimer la créature humaine. Ils l’entoureront de flatteries; ils lui tendront des pièges uniquement pour la tourmenter davantage, car ces monstrueuses créatures, quoique dotées de dons naturels comme l'intelligence, la volonté et autres, ne pourront jamais s’en servir pour le bien, mais seulement pour le mal.
Froides et glacées dans leurs plans de destruction, elles éprouvent un sadique besoin de s’enfoncer toujours plus dans l’iniquité. Inexorablement, elles pensent le mal, le veulent et le réalisent.
Actuellement, elles sont en train de préparer, dans l’obscurité, complots sur complots qu’elles réalisent par le biais de leurs alliés et de leur «Eglise», la franc-maçonnerie, pour déchaîner sur la terre une bataille qui n’a de précédent que dans le conflit qui eut lieu dans le ciel entre les anges de la Lumière et ceux des ténèbres.
Le royaume des ténèbres est gouverné par une triade et il est hiérarchique. C’est un royaume de haine et d’iniquité.
Il s’appuie en fait sur les passions les plus ignominieuses. C’est un royaume d’horreur qui n’a d’équivalent dans aucun autre lieu de l’univers et qui ne peut être décrit en termes humains.
Les sujets de ce royaume sont tous les anges qui, avec Lucifer, Belzébuth et Satan, opérèrent la grande rébellion.
C’est un royaume cependant en continuelle expansion, parce que viennent le grossir tous les hommes qui disent «non» au plan du salut pour dire «oui» au plan diabolique des puissances obscures de l’enfer.
Les créatures humaines qui meurent en état de péché mortel demeurent éternellement dans le péché. Les anges et les hommes ont apporté et apportent aussi dans l’enfer leurs dons naturels, de sorte que leur peine est d’autant plus grande que ces dons ont été plus marqués, parce que Dieu, justice infinie, donne à chacun en proportion de ce qu’il a mérité. Aussi souffre-t-on en enfer, on souffre en proportion des dons qu’on a eus sur la terre.
Oui, je sais que vous ne croyez pas à l’enfer, mais si je me taisais devant votre ignorance voulue, est-ce que l’enfer disparaîtrait pour autant ?
Message du Ciel donné à la Fille du Oui à Jésus - Date inconnue - Volume 4 - n° 268
Mes petits enfants chéris, je vous parle pour votre bien, car je veux vous faire réaliser que je suis en train de vous préparer une place sur la terre et dans le Royaume de mon Père. Mais soyez avertis qu’il n’y aura pas de place ni sur la terre ni dans le Royaume de mon Père pour ceux qui ne voudront pas de moi: leur place sera en enfer.
Oui, je sais que vous ne croyez pas à l’enfer, mais si je me taisais devant votre ignorance voulue, est-ce que l’enfer disparaîtrait pour autant? Croyez-moi, cela ne changerait pas ce que mon Père a déjà fait pour les anges qui n’ont pas voulu m’adorer. Parce qu’ils se sont révoltés, le tiers des anges, qui ont suivi Lucifer, ont été projetés en enfer: l’endroit où ils sont maintenant.
Ces anges sont des esprits, c’est Dieu qui les a créés et, comme ils sont des esprits, ils ne peuvent pas mourir. Suite à leur révolte, Dieu les a chassés loin de sa face; il fallait bien qu’ils soient quelque part et c’est dans ce lieu, que vous niez, qu’ils vivent.
Si vous refusez de croire que cet endroit existe, c’est que vous avez une peur en vous; vous ne voulez pas aller là où il y a de la souffrance parce que, la souffrance, vous connaissez ce que cela veut dire, n’est-ce pas? Vous êtes sur la terre pour faire des œuvres d’amour mais, comme vous n’en faites qu’à votre tête, vous souffrez et vous dites que l’enfer est sur la terre.
Mes enfants, cela est faux! L’enfer existe vraiment et les souffrances avec. Les souffrances sont la conséquence de vos péchés et cela depuis que les enfants de la terre vivent avec le bien et le mal en eux. C’est le mal en vous qui vous fait faire des mauvaises actions. Il n’y a que le bien qui éloigne le mal, mais votre faiblesse vous empêche de faire ce qu’il faut ; oui, vous ne voulez pas prier. (...)
j'ai été dans les gouffres de l'enfer, pour en parler aux âmes et témoigner que l'enfer existe
Vision de l’Enfer donnée à Sainte Faustine, le 20 octobre 1936 - Extrait du Petit Journal, n°741
« Aujourd'hui j'ai été dans les gouffres de l'enfer, introduite par un ange. C'est un lieu de grands supplices, et son étendue est terriblement grande.
Genres de supplices que j'ai vus :
-
le premier supplice qui fait l'enfer c'est la perte de Dieu ;
-
le deuxième - les perpétuels remords ;
-
le troisième - le sort des damnés ne changera jamais ;
-
le quatrième supplice - c'est le feu qui va pénétrer l'âme sans la détruire, c'est un terrible supplice, car c'est un feu purement spirituel, allumé par la colère de Dieu ;
-
le cinquième supplice - ce sont les ténèbres continuelles, une terrible odeur étouffante et malgré les ténèbres, les démons et les âmes damnées se voient mutuellement et voient tout le mal des autres et le leur ;
-
le sixième supplice - c'est la continuelle compagnie de Satan ;
-
le septième supplice - le désespoir terrible, la haine de Dieu, les malédictions, les blasphèmes.
Ce sont des supplices que tous les damnés souffrent ensemble, mais ce n'est pas la fin des supplices. Il y a des supplices qui sont destinés aux âmes en particulier, ce sont les souffrances des sens. Chaque âme est tourmentée d'une façon terrible et indescriptible par ce en quoi ont consisté ses péchés. Il y a de terribles cachots, des gouffres de tortures où chaque supplice diffère de l'autre ; je serais morte à la vue de ces terribles souffrances, si la toute-puissance de Dieu ne m'avait soutenue.
Que chaque pécheur sache : il sera torturé durant toute l'éternité par les sens qu'il a employés pour pécher.
J'écris cela sur l'ordre de Dieu pour qu'aucune âme ne puisse s'excuser disant qu'il n'y a pas d'enfer, ou que personne n'y a été et ne sait comment c'est. Moi, Sœur Faustine, par ordre de Dieu, j'ai été dans les gouffres de l'enfer, pour en parler aux âmes et témoigner que l'enfer existe.
Je ne peux en parler maintenant [en 1936], j'ai l'ordre de Dieu de le laisser par écrit. Les démons ressentaient une grande haine envers moi, mais l'ordre de Dieu les obligeait à m'obéir. Ce que j'ai écrit est un faible reflet des choses que j'ai vues. J'ai remarqué une chose : qu'il y a là-bas beaucoup d'âmes qui doutaient que l'enfer existe.
Quand je suis revenue à moi, je ne pouvais pas apaiser ma terreur de ce que les âmes y souffrent si terriblement, c'est pourquoi je prie encore plus ardemment pour la conversion des pécheurs, sans cesse j'appelle la miséricorde divine sur eux. Ô mon Jésus, je préfère agoniser jusqu'à la fin du monde dans les plus grands supplices que de T'offenser par le moindre péché. »
[Rappelons le message de Dieu le Père donné à Carol Ameche le 12 août 2010, à l’Adoration : « SAUVEZ LES AMES, MON PEUPLE ». La mission fondamentale des apôtres des derniers est bien celle-ci : sauver les âmes (avant même de sauver les corps) et donc prier pour leur salut.]
Certains vont jusqu’à enseigner que l’enfer n’existe pas
Enseignement de Jésus à Joseph X - transmis par le Père Melvin Doucette (Canada) - Mardi 24 novembre 2009
« Aujourd’hui, mes frères et mes sœurs, beaucoup répandent des erreurs plutôt que la vérité que je vous ai apportée lorsque j’étais sur la terre. Beaucoup n’enseignent pas les commandements de mon Père, mais prétendent que tous seront sauvés, qu’ils suivent ou non les commandements. Certains vont jusqu’à enseigner que l’enfer n’existe pas, bien que j’en aie souvent parlé lorsque j’étais sur la terre. C’est le lieu destiné au démon et à tous les esprits mauvais, ainsi qu’à tous ceux qui ont refusé de croire en moi et de se repentir de leurs fautes.
« Mes chers amis, n’écoutez pas ceux qui n’enseignent pas la vérité, mais adhérez totalement aux enseignements définis par mon Église. Tenez ferme dans la foi et croyez tout ce que l’Église vous apprend, en particulier en ce qui regarde ma seconde venue, la puissance des sacrements, l’importance de la prière, la fidélité à l’Eucharistie du dimanche et la réception régulière de la sainte Communion. N’oubliez jamais le sacrement de ma miséricorde, qui est le Sacrement de la Réconciliation. Observez tous les commandements et aimez-vous les uns les autres. Vous serez bénis. »
Traduction : RF
La porte du royaume infâme de Satan sera fermée, boulonnée par mes anges pour toujours, pour toujours, pour toujours, un toujours dont le nombre d’années est sans nombre
Révélation donnés à Maria Valtorta - Dictée et vision du 15 janvier 1944 - extraites des "Cahiers de 1944"
Jésus décrit l’enfer: un tourment de feu, de gel, de ténèbres.
Jésus dit : "Une fois, je t’ai fait voir le Monstre des abîmes [1]. Je vais aujourd’hui te parler de son royaume. Je ne peux pas toujours te garder au paradis. Souviens-toi que tu as pour mission de rappeler certaines vérités à tes frères qui les ont trop oubliées. Ce sont ces oublis, qui sont en réalité du mépris pour les vérités éternelles, qui sont la cause de tant de maux pour les hommes.
Écris donc cette page pénible. Ensuite, tu seras réconfortée. C’est la nuit du vendredi. Écris en regardant ton Jésus, qui est mort sur la croix dans des tourments tels qu’ils sont comparables à ceux de l’enfer, et qui a voulu cette mort pour sauver les hommes de la Mort.
Les hommes d’aujourd’hui ne croient plus à l’existence de l’enfer. Ils se sont échafaudé un au-delà à leur convenance et tel qu’il soit moins terrorisant pour leur conscience, qui mérite bien des châtiments. Disciples plus ou moins fidèles de l’Esprit du Mal, ils savent bien que leur conscience reculerait devant certains méfaits, s’ils croyaient réellement à l’enfer comme la foi l’enseigne. Ils savent que leur conscience, une fois leur méfait commis, ferait retour sur elle-même et trouverait le repentir dans le remords ou dans la peur et, grâce au repentir, la voie pour revenir à moi.
Leur malice, instruite pas Satan dont ils sont les serviteurs ou les esclaves (suivant leur adhésion aux volontés et aux suggestions du Malin) ne veut pas de tels reculs et de tels retours sur soi. Par conséquent, l’homme abandonne la foi à l’enfer tel qu’il est réellement et s’en fabrique un autre — si du moins il s’en fabrique un —, qui n’est en fait qu’une pause pour prendre son élan vers d’autres élévations futures.
Il va si loin dans cette opinion qu’il croit de façon sacrilège que le plus grand de tous les pécheurs de l’humanité, le fils bien-aimé de Satan, celui qui était voleur comme le dit l’Évangile, concupiscent et avide de gloire humaine comme je le dis moi, Judas Iscariote, a pu être sauvé et parvenir jusqu'à moi en passant par des phases successives, alors que, poussé par la triple concupiscence, il est devenu marchand du Fils de Dieu et que, moyennant trente pièces et un baiser comme signe — une valeur monétaire dérisoire et une valeur affective infinie —, il m’a livré aux mains des bourreaux.[2]
Non. S’il fut le sacrilège par excellence, moi je ne le suis pas. S’il fut l’injuste par excellence, moi je ne le suis pas. S’il fut celui qui a répandu dédaigneusement mon Sang, moi je ne le suis pas. Pardonner à Judas serait un sacrilège envers ma divinité qu’il a trahie, ce serait une injustice envers tous les autres hommes, toujours moins coupables que lui et qui sont pourtant punis pour leurs péchés, ce serait mépriser mon sang, enfin ce serait ne pas tenir compte de mes lois.
J’ai dit, moi qui suis le Dieu un et trine, que celui qui est destiné à l’enfer l’endure pour l’éternité car aucune nouvelle résurrection ne provient de cette mort-là. J’ai dit que ce feu est éternel et que tous les artisans de scandales et d’iniquités s’y retrouveront. Ne croyez pas non plus que ce sera au moment de la fin du monde. Non, car au contraire, la terrible révision de vie sera suivie de cette demeure, plus impitoyable, de larmes et de tourments : en effet, ce qui est encore permis à ses hôtes comme divertissement infernal — le pouvoir de nuire aux vivants et la vue de nouveaux damnés être précipités dans l’abîme — n’existera plus. La porte du royaume infâme de Satan sera fermée, boulonnée par mes anges pour toujours, pour toujours, pour toujours, un toujours dont le nombre d’années est sans nombre.
En comparaison, si les grains de sable de tous les océans de la terre devenaient des années, ils formeraient moins d’une journée de mon éternité impossible à mesurer, faite de lumière et de gloire en haut pour les bienheureux, mais de ténèbres et d’horreur pour les maudits dans les profondeurs.
Je t’ai déjà dit que le purgatoire est un feu d’amour. Mais l’enfer est un feu de sévérité.
Le purgatoire est un lieu dans lequel vous expiez vos manques d’amour pour votre Seigneur Dieu en pensant à lui, dont l’Essence a brillé devant vous au moment de votre jugement particulier et vous a remplis du désir de la posséder. Par l’amour, vous conquérez l’Amour et, en passant par des degrés croissants de charité enflammée, vous lavez vos vêtements jusqu’à les rendre purs et lumineux pour entrer dans le royaume de la Lumière, dont je t’ai montré les splendeurs il y a quelques jours. [5]
L’enfer est un lieu où la pensée de Dieu, le souvenir de Dieu entrevu lors du jugement particulier n’est pas, comme pour l’âme du purgatoire, un saint désir, une nostalgie déchirante mais pleine d’espoir, une espérance faite d’attente tranquille, de paix assurée qui atteindra la perfection quand elle sera devenue conquête de Dieu, mais qui donne déjà à l’âme du purgatoire une joyeuse activité purifiante, puisque chaque souffrance, chaque instant de souffrance l’approche de Dieu, son amour. En enfer la pensée de Dieu est remords, ressentiment, damnation, haine. Haine contre Satan, haine contre les hommes, haine contre soi-même.
Après avoir, pendant leur vie, adoré Satan à ma place, maintenant qu’ils le possèdent et en voient le véritable aspect, qui n’est plus caché sous le sourire ensorcelant de la chair, sous l’éclat lumineux de l’or, sous le signe puissant de la suprématie, ils le haïssent pour avoir causé leurs tourments.
Après avoir oublié leur dignité d’enfants de Dieu au point d’adorer les hommes jusqu’à devenir des assassins, des voleurs, des escrocs, des marchands d’immondices pour eux-mêmes, maintenant qu’ils retrouvent les patrons pour lesquels ils ont tué, volé, escroqué, vendu leur propre honneur comme celui de tant de créatures malheureuses, faibles, sans défense, en se faisant l’instrument d’un vice que les animaux n’en connaissent pas — la luxure, cet attribut de l’homme empoisonné par Satan —, maintenant donc ils les haïssent pour avoir provoqué leurs tourments.
Après s’être adorés eux-mêmes en accordant toute satisfaction à la chair, au sang ainsi qu’aux sept appétits de leur chair et de leur sang, foulant ainsi aux pieds la Loi de Dieu et celle de la moralité, ils se haïssent maintenant parce qu’ils se rendent compte qu’ils se sont eux-mêmes causé leurs tourments.
Le mot "Haine" recouvre ce royaume immenseLe mot "Haine" recouvre ce royaume immense; il rugit au milieu de ces flammes; il hurle sous les ricanements des démons; il sanglote et crie au milieu des lamentations des damnés; il résonne, résonne, résonne, comme une cloche qui sonne éternellement le tocsin; il retentit comme un buccin éternel; il remplit chaque recoin de cette prison; il est en lui-même un tourment car, chaque fois qu’on l’entend, il ranime le souvenir de l’Amour perdu à jamais, le remords d’avoir voulu le perdre et la rage de ne plus jamais pouvoir le revoir.
Au milieu de ces flammes, l’âme morte, à l’instar de ces corps jetés au bûcher ou dans les fours crématoires, se tord et crie comme si elle était de nouveau animée par un mouvement de vie, elle se réveille pour comprendre son erreur puis meurt et renaît à chaque instant dans d’atroces douleurs, car le remords la tue sous un blasphème et ce meurtre la ramène à vivre un nouveau tourment. Le crime d’avoir trahi Dieu dans le temps reste devant l’âme pour l’éternité; l’erreur d’avoir refusé Dieu dans le temps lui est éternellement présente, pour son tourment.
Dans le feu, les flammes singent les spectres de ce qu’ils ont adoré pendant leur vie, les passions se peignent en ardents coups de pinceau sous leurs aspects les plus appétissants et elles crient, crient leur mémento [6] : "Tu as voulu le feu des passions. Reçois maintenant le feu allumé par Dieu, dont tu as tourné en dérision le saint Feu."
Le feu répond au feu. Au paradis, il est feu d’amour parfait. Au purgatoire, il est feu d’amour purificateur. En enfer, il est feu d’amour offensé. Puisque les élus ont aimé à la perfection, l’Amour se donne à eux avec toute sa perfection. Puisque les âmes du purgatoire ont aimé tièdement, l’Amour devient flamme pour les amener à la perfection. Puisque les maudits ont brûlé de tous les feux, sauf du Feu de Dieu, le Feu de la colère de Dieu les brûle pour l’éternité. Or au sein de ce feu se trouve aussi un froid glacé.
Oh ! Vous ne pouvez vous imaginer ce qu’est l’enfer. Prenez tout ce qui tourmente l’homme sur terre : le feu, les flammes, le gel, les eaux qui submergent, la faim, le sommeil, la soif, les blessures, les maladies, les plaies, la mort... Additionnez-les et multipliez ce total des millions de fois : vous n’aurez qu’une pâle image de cette terrible vérité.
Un froid sidéral se mêlera à une chaleur insoutenable. Les damnés ont brûlé de tous les feux humains mais n’auront eu qu’une vie spirituelle glacée pour leur Seigneur Dieu. C’est donc le gel qui les attend pour les congeler après que le feu les aura salés comme du poisson mis à rôtir sur une flamme. Le fait de passer de la chaleur brûlante qui fait fondre au froid glacé qui condense est un tourment de plus.
Oh ! Ce n’est pas là un langage métaphorique, car Dieu peut faire en sorte que les âmes, lourdes des fautes qu’elles ont commises, aient une sensibilité égale à celle de la chair, même avant qu’elles ne revêtent cette chair. Vous ne savez pas et ne croyez pas. Mais je vous dis, en vérité, que mieux vaudrait pour vous subir tous les tourments de mes martyrs plutôt que passer une seule heure dans les tortures de l’enfer.
Le troisième tourment, ce sera l’obscurité. Une obscurité matérielle et spirituelle. Se trouver pour toujours dans les ténèbres après avoir vu la lumière du paradis, être étreint par la Ténèbre après avoir vu la Lumière qui est Dieu ! Se débattre dans l’horreur noire où seul s’illumine, au réverbère de l’esprit brûlant, le nom du péché qui leur a valu d’être plongés dans une telle horreur !
Ne trouver aucun appui dans ce remue-ménage d’âmes qui se haïssent et se nuisent mutuellement, si ce n’est dans le désespoir qui les rend fous et toujours plus maudits. S’en nourrir, s’appuyer sur lui, se tuer avec lui. La mort nourrira la mort, est-il dit. [7] Le désespoir est mort et nourrira ces morts pour l’éternité.
Je vous le dis, moi qui pourtant ai créé cet endroit : quand j’y suis descendu pour tirer des limbes ceux qui attendaient ma venue, j’ai eu horreur, moi qui suis Dieu, de cette horreur, et, si une chose faite par Dieu n’était immuable parce que parfaite, j’aurais voulu le rendre moins atroce, car je suis l’Amour et j'ai souffert de cette horreur.
Or vous, vous voulez y aller !
Mes enfants, méditez ce que je vous dis. On donne aux malades des médicaments amers, les endroits atteints par le cancer sont cautérisés et le mal excisé. Pour vous, qui êtes malades et cancéreux, ma parole est médicaments et cautère chirurgical. Ne la refusez pas. Servez-vous-en pour vous guérir. La durée de la vie n’est pas ces quelques jours passés sur la terre. La vie commence quand elle vous semble finir, et elle ne finit pas.
Faites en sorte qu’elle se déroule là où la lumière et la joie de Dieu rendent l’éternité belle, et non pas là où Satan est le bourreau éternel."
Vous voyez différents niveaux de l’enfer, et les niveaux les plus bas subissent encore plus de tourments.
Message du Seigneur donnés à John Leary (USA) - Lundi le 14 janvier 2008.
« Mes amis, je vous donne une autre vision de l’enfer pour réveiller les gens aux dangers de leurs actions et styles de vie coupables qui pourraient les conduire à l’enfer.
Quand vous voyez comment ces âmes souffrent et préviennent les autres de ne pas y venir, vous pouvez penser différemment sur la nécessité de se confesser et de commettre moins de péchés dans vos vies.
En enfer, il y a pour ces âmes mauvaises une souffrance constante, comme une sensation de brûlure, et leur apparence est enlaidie et sent une puanteur de soufre.
Ces âmes sont condamnées à l’enfer pour toute l’éternité de leur propre choix, et par mon jugement à ne jamais revoir mon visage.
Elles vivent dans un désespoir total et sont tourmentées par la haine des démons.
Vous voyez différents niveaux de l’enfer, et les niveaux les plus bas subissent encore plus de tourments.
Certaines âmes m’ignorent passivement et sont occupées par les désirs et conforts terrestres; ces âmes sont dans des régions plus élevées de l’enfer.
Aux niveaux du milieu, sont ces âmes qui vendent leur âme à Satan pour pouvoir être riches et célèbres parmi les hommes.
Aux niveaux inférieurs se trouvent le clergé, les sorcières et les sorciers qui ont intentionnellement rendu un culte à Satan et travaillé à amener des âmes en enfer.
Ces châtiments en enfer viennent de ma Justice divine et… vous ne voulez pas que je vous dise que je ne vous connais pas! Toutes ces âmes qui me rejettent ou qui adorent des idoles et Satan, se retrouveront languissant en enfer à cause de leurs propres mauvais choix dont elles ne se sont jamais repenties. Beaucoup d’âmes tombent en enfer en ce temps mauvais, alors soyez inspirés par ma grâce de sauver autant d’âmes que possible de cet Enfer (brasier) éternel. »
Mais certains de mes anges et des hommes ont refusé de me servir et c’est pour cette raison que l’enfer fut créé
Message du Seigneur donnés à John Leary (USA) - Vendredi le 15 juin 2007 (Sacré Cœur de Jésus)
Jésus dit : « Mon peuple, pour toutes les choses créées je suis le centre de votre univers, et toutes les choses tournent autour de moi.
Je suis toute perfection, tout amour et toute cause de tout ce qui existe.
Cette vision d’un univers en orbite c’est pour vous montrer la largeur et l’étendue de ma puissance, tout comme les apôtres se sont émerveillés lorsque j’ai calmé la mer agitée. La représentation de mon Sacré Cœur avec une flamme et une couronne d’épine représente mon amour pour les gens et avoir même donné ma vie pour vous sauver tous.
Le cœur est un signe d’amour et la flamme éternelle signifie que je vous aimerai toujours, même quand vous péchez contre moi. Ma miséricorde et mon pardon sont toujours disponibles pour chaque pécheur dans mon sacrement de Réconciliation. Vous pouvez confesser vos péchés au prêtre avec contrition et regret, et je vous pardonnerai.
Ceux qui ne se repentissent pas et n’acceptent pas le fait que vous êtes des pécheurs, risquent les feux de l’enfer pour toute l’éternité. Toutes les choses dans l’univers obéissent à ma volonté et l’homme ne fait pas exception.
Comprenez que je vous ai donné le libre choix de m’aimer et de faire ma Volonté.
Mais certains de mes anges et des hommes ont refusé de me servir et c’est pour cette raison que l’enfer fut créé : pour les orgueilleux et ceux qui n’ont pas d’amour dans leurs cœurs. Venez à moi, mes enfants, et appréciez l’amour et la récompense de votre Maître en étant fidèles à votre mission et à ma Divine Volonté. »
Une enfant de 8 ans en ENFER
Extraite des messages de l'Escorial du 03 novembre 2002. - Texte trouvé dans le Bulletin de l'Association Vierge des Douleurs du Pré Neuf de l'Escorial - n° 60 - novembre 2002 (abonnement tél. : 05 59 84 35 93 - France)
(...)
J'ai vu des enfants en enfer. Le premier que j'ai vu, c'était une petite fille âgée de 8 ans.
J'en ai été horrifiée. Je ne comprenais comment un enfant de 8 ans pouvait se trouver en enfer.
J'en suis arrivée à penser : comment Dieu peut faire une chose pareille ?
Alors Le Seigneur m'a dit : « Comme tu doutes de Moi » !
Moi je n'ai pas condamné cette petite fille, elle s'est condamnée elle-même. De même qu'il y a des enfants qui sont « adultes », de même certaines personnes âgées sont comme des enfants.
Cette petite à 8 ans avaient commis beaucoup de péchés. Et moi j'avais commis un péché en jugeant Dieu. Un jour aussi, il m'est arrivé d'avoir de La compassion pour ceux qui étaient en enfer, alors le Seigneur s'est fâché et il m'a dit : « Tu es en train de juger comme si Je n'étais pas Juste envers les âmes.
Combien de fois t'ai je dit que les âmes qui se condamnent, Le font de leur plein gré ! Moi J'ai œuvré avec Justice en tant que Juge Suprême.
Ne doutes jamais de La Justice de Dieu ! ». Alors vous voyez, j'avais commis un péché en doutant de Dieu. Je m'en suis repentie bien sûr. Souvent je préfère ne pas penser. Je dis souvent à Dieu que s'il fait les choses, c'est lui Le Maître de tout. Et iL sait bien ce qu'Il a à faire et comment IL doit le faire.
Question : L'eau bénite peut-eLle soulager les âmes du Purgatoire ?
Oui. Lorsqu'on entre à l'église et que L'on fait Le signe de croix avec l'eau bénite, on peut effacer ses propres péchés véniels.
Question : Beaucoup de prêtres disent que l'enfer n'existe pas !
Les pauvres ! L'Enfer est un dogme de foi. C'est écrit : « Va-t-en maudit, au feu éternel ! ». Et combien de fois L'on trouve dans l'EvangiLe le mot « enfer ». Celui qui ne croit pas à l'enfer est anathème. L'Enfer existe comme le CieL existe. Mais nous, nous devons croire en la parole de Dieu. On ne doit rien ajouter ni rien retrancher à la parole de Dieu qui est L'Evangile. Ce qui est écrit, est écrit. Celui qui ajoute ou retranche quelque chose, quand il se présentera devant Dieu !...
Question : Il y a beaucoup de prêtres qui ne veulent pas que Les croyants s'agenouillent pour recevoir la Sainte Communion !
Avec humilité, vous vous levez, et Le Seigneur voit. Il m'est arrivé de m'agenouiller avant de recevoir la communion et le prêtre m'a dit :
(...)
IL n'y avait que cris et malédictions :
les enfants maudissaient Leurs parents et les parents maudissaient leurs enfants.
Chacun se renvoyait la faute : les enfants disaient à Leurs parents : c'est à cause de vous que nous sommes ici, et les parents disaient à leurs enfants que c'était Leur faute s'ils se trouvaient en ce lieu. C'est parce que Les parents avaient tout consenti à Leurs enfants et que les enfants en avaient bien profité, n'ayant pas respecté leurs parents, qu'iLs se trouvaient tous en enfer.
Ces âmes dont j'ai parlé auparavant, donnaient des avertissements aux parents en Leur indiquant qu'ils devaient élever leurs enfants dans La sainte crainte de Dieu et ne pas leur mettre, comme dit L'Evangile, « un serpent entre leurs mains, ni une bouteille de venin pour qu'ils s'empoisonnent » mais qu'ils devaient les conduire sur le chemin de l'Evangile. Elles disaient que pour toutes ces raisons, beaucoup de parents étaient condamnés.
(...)
Peut-on quitter l'ENFER
Extraite des messages de l'Escorial du 03 novembre 2002. Texte trouvé dans le Bulletin de l'Association Vierge des Douleurs du Pré Neuf de l'Escorial - n° 60 - novembre 2002 (abonnement tél. : 05 59 84 35 93 - France)
(...) Non. L'enfer est l'unique Lieu qui est sans issue.
Ceux qui y vont, y vont de leur plein gré parce qu'ils maudissent Dieu. ILs ne veulent pas sortir de L'enfer même s'ils souffrent parce qu'ils haïssent Dieu.
Si Satan s'était humilié, s'iL avait été humble, Dieu lui aurait pardonné. Mais à cause de son orgueil, iL n'a pas voulu s'abaisser. Dieu n'oblige aucune âme, elle se condamne par sa propre volonté. L'orgueil de ces âmes en arrive à un point teL qu'elles ne reviennent pas en arrière, même condamnées.
Et les enfants italiens qui sont décédés au cours du tremblement de terre ? (le 31 octobre 2002 - fête d'halloween - une école s'est effondrée)
Imaginez ce qu'ils étaient en train de fêter !... Dieu commande et peut sauver les hommes jusqu'au dernier moment. Dieu peut pardonner à qui il veut jusqu'au dernier moment. Mais pensez à ce qu'ils étaient en train de fêter !... (...)
JÉSUS et VÉRONICA visitent L'ENFER
(Messages des apparitions de Véronica Lueken (USA) 18 Juin 1990 (...)
Véronica : Oh, mon Dieu! Je vois que nous, nous dérivons comme dans un trou, c'est comme un grand trou dans le sol. Et j'entends, j'entends des gens crier crier à s'époumoner ! Mais je regarde par en bas maintenant; Jésus a dit de regarder vers le bas. Je veux regarder par en haut; la chaleur étant si intense, je ne veux pas regarder par en bas. Mais je vais le faire. Très bien.
Oh, bon sens! Oh, je vois--je sais qu'ils sont des démons, suspendus aux murs d'un endroit qui ressemble à une caverne où Jésus dit que cela est la première partie de l'enfer. Et toutes ces âmes il doit y en avoir des milliers hurlent ! Elles hurlent et crient, et elles sont comme des braises brûlantes ! Leurs corps flottent partout; elles n'ont aucun poids. Ca ressemble à des corps, cependant c'est comme du charbon qui brûle!
"Oh, Sainte Mère et Jésus, s'il vous plaît, sortez-moi d'ici!"
Oh! Oh, c'est terrible!
"Oui." (...)
Une âme damnée parle
Extraite des messages de l'Escorial
Une âme damnée :
Nous ne voulons rien savoir, ni de vous ni de Dieu. Nous ne changerions pas les peines ni la douleur pour aller au Ciel ! Notre mission est la haine, la destruction, le manque d’amour. C’est un tourment qui ne finira jamais et ne nous consumera jamais. C’est un feu dévorant, qui dévore nos entrailles. Mais nous sommes maudits de Dieu parce que nous, nous n’avons pas voulu l’aimer. Mais je veux que vous avertissiez les hommes des tourments si grands de ce lieu afin qu’ils n’y entrent pas. C’est la voix de Dieu qui me le commande ! Mais pour moi, j’entraînerai tout le monde dans ce lieu où ils se consumeraient par le feu, où la haine, la destruction sont toujours présents ! Tout n’est qu’amertume
et notre mission est de détruire les âmes.
Luz Amparo : Quelle horreur !
Une âme damnée :
Beaucoup parviennent en ce lieu parce que personne n’a voulu leur dire la vérité et nous nous n’avons pas voulu la comprendre. Il était plus facile de vivre dans les commodités, l’abondance, et à notre guise sans faire la volonté de Dieu. Ceci est notre salaire. Nous sommes payés par celui pour lequel nous avons travaillé. Nous éprouvons de la haine, du mépris. Si Dieu nous laissait, nous détruirions le monde. Nous n’éprouvons que le désir d’entraîner tous les hommes pour qu’ils participent à cette souffrance.
La Très Sainte Vierge :
Ma fille, tu vois quelle différence il y a entre l’amour et la haine ? Observe la paix qu’il y a en ce lieu et la haine, le mépris et la rancœur qu’il y a dans l’autre. Luttez mes enfants, et ne vous laissez pas conquérir par des paroles qui flattent vos ouies, par des commodités pour votre corps. Soyez fidèles à la volonté de Dieu, aimez nos Cœurs, mes enfants ! Les âmes bonnes jouissent de la miséricorde si grande que Dieu a eue envers elles parce qu’elles ont été capables de lutter, de se détacher, de rejeter les vanités, les rancœurs, les envies, d’être pauvres, humbles et sacrifiées, d’imiter Jésus sur la Croix et Marie à Nazareth ! N’as-tu pas vu ton Père Spirituel, ma fille, comme il est joyeux en la présence de Dieu ? Il a consacré toute sa vie à Dieu depuis son enfance. A l’âge de 9 ans, il a commencé son chemin ma fille.
Notre Seigneur :
Il s’est consacré entièrement. C’est pourquoi je vous ai récompensé, lui et toi : je l’ai récompensé en étant ton directeur spirituel, et je t’ai récompensée en apprenant de lui. C’est pourquoi je demande aux hommes : approchez-vous des sacrements, mes enfants, ne vous relâchez pas dans la prière, laissez le monde et toutes ses vanités et prenez un chemin droit et sûr. Dans le monde il y a une crise de la foi que les hommes ont perdu parce qu’ils considèrent que tout est bien. L’homme a perdu la morale et le monde est rempli d’immoralité : car rien n’est péché. On porte la chair en triomphe et je te répète, ma fille, que les hommes veulent changer les lois, chacun ne s’acceptant pas tel qu’il est, sur le chemin de sainteté, mais dans l’immoralité et en adultérant leur corps : les hommes avec les hommes, les femmes avec les femmes. Mais jusqu’où allez-vous en venir, créatures, car vous ne respectez pas la loi de Dieu ! Dieu a crée l’homme et la femme pour procréer, non point pour la jouissance, les plaisirs ou les passions. L’homme l’a oublié. Je te répète ma fille que cela ressemble à Sodome et Gomorrhe. Jusqu’à quand Dieu doit-il avoir honte des hommes ! Priez mes enfants, priez pour ne pas tomber en tentation.
Extraite des messages de l'Escorial
Septembre 1993 :
Notre Seigneur : Ils veulent briller sur la terre et ce qui leur importe, ce sont les récompenses et les flatteries terrestres; ils ne veulent pas de l'éternité, et c'est pourquoi ils resteront dans le temps
5 août 2000 :
La Très Sainte Vierge : Malheur à ceux qui n'écoutent pas ma voix, malheur à ceux qui, l'ayant entendue, l'abandonnent ! Pauvres âmes, ceux qui se comportent ainsi, Je les chasse loin de moi, parce qu'ils ne veulent pas que J'applique ma miséricorde sur eux. Ils sont si orgueilleux, si superbes, que ni l'amour de Dieu, ni sa miséricorde, ne leur importent pour leur salut. Ah, mes enfants, quand viendra le jour où vous devrez vous présenter devant la Divine Majesté de Dieu, combien d'entre vous voudront entrer et ne le pourront pas, parce que vous n'aurez pas été dignes de vous trouver en ma présence !
Voici un extrait du
Catéchisme de l'Eglise Catholique concernant L'ENFER
Pour lire l'intégralité du catéchisme : http://www.clerus.org/clerus/index_fra.html
IV. L’enfer
1033 Nous ne pouvons pas être unis à Dieu à moins de choisir librement de l’aimer. Mais nous ne pouvons pas aimer Dieu si nous péchons gravement contre Lui, contre notre prochain ou contre nous-mêmes : " Celui qui n’aime pas demeure dans la mort. Quiconque hait son frère est un homicide ; or vous savez qu’aucun homicide n’a la vie éternelle demeurant en lui " (1 Jn 3, 15). Notre Seigneur nous avertit que nous serons séparés de Lui si nous omettons de rencontrer les besoins graves des pauvres et des petits qui sont ses frères (cf. Mt 25, 31-46). Mourir en péché mortel sans s’en être repenti et sans accueillir l’amour miséricordieux de Dieu, signifie demeurer séparé de Lui pour toujours par notre propre choix libre. Et c’est cet état d’auto-exclusion définitive de la communion avec Dieu et avec les bienheureux qu’on désigne par le mot " enfer ".
1034 Jésus parle souvent de la " géhenne " du " feu qui ne s’éteint pas " (cf. Mt 5, 22. 29 ; 13, 42. 50 ; Mc 9, 43-48), réservé à ceux qui refusent jusqu’à la fin de leur vie de croire et de se convertir , et où peuvent être perdus à la fois l’âme et le corps (cf. Mt 10, 28). Jésus annonce en termes graves qu’il " enverra ses anges, qui ramasseront tous les fauteurs d’iniquité (...), et les jetteront dans la fournaise ardente " (Mt 13, 41-42), et qu’il prononcera la condamnation : " Allez loin de moi, maudits, dans le feu éternel ! " (Mt 25, 41).
1035 L’enseignement de l’Église affirme l’existence de l’enfer et son éternité. Les âmes de ceux qui meurent en état de péché mortel descendent immédiatement après la mort dans les enfers, où elles souffrent les peines de l’enfer, " le feu éternel " (cf. DS 76 ; 409 ; 411 ; 801 ; 858 ; 1002 ; 1351 ; 1575 ; SPF 12). La peine principale de l’enfer consiste en la séparation éternelle d’avec Dieu en qui seul l’homme peut avoir la vie et le bonheur pour lesquels il a été crée et auxquels il aspire.
1036 Les affirmations de la Sainte Écriture et les enseignements de l’Église au sujet de l’enfer sont un appel à la responsabilité avec laquelle l’homme doit user de sa liberté en vue de son destin éternel. Elles constituent en même temps un appel pressant à la conversion : " Entrez par la porte étroite. Car large et spacieux est le chemin qui mène à la perdition, et il en est beaucoup qui le prennent ; mais étroite est la porte et resserré le chemin qui mène à la Vie, et il en est peu qui le trouvent " (Mt 7, 13-14) :
Ignorants du jour et de l’heure, il faut que, suivant l’avertissement du Seigneur, nous restions constamment vigilants pour mériter, quand s’achèvera le cours unique de notre vie terrestre, d’être admis avec lui aux noces et comptés parmi les bénis de Dieu, au lieu d’être, comme de mauvais et paresseux serviteurs, écartés par l’ordre de Dieu vers le feu éternel, vers ces ténèbres du dehors où seront les pleurs et les grincements de dents (LG 48).
1037 Dieu ne prédestine personne à aller en enfer (cf. DS 397 ; 1567) ; il faut pour cela une aversion volontaire de Dieu (un péché mortel), et y persister jusqu’à la fin. Dans la liturgie eucharistique et dans les prières quotidiennes de ses fidèles, l’Église implore la miséricorde de Dieu, qui veut " que personne ne périsse, mais que tous arrivent au repentir " (2 P 3, 9) :
Voici l’offrande que nous présentons devant toi, nous, tes serviteurs, et ta famille entière : dans ta bienveillance, accepte-la. Assure toi-même la paix de notre vie, arrache-nous à la damnation et reçois-nous parmi tes élus (MR, Canon Romain 88).
SUITE !
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