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DILATATION THERMIQUE DE L'OCéAN MONDIAL : L'OCéAN NE S'éLèVE DONC PAS PARCE QU'IL A PLUS D'EAU MAIS ESSENTIELLEMENT PARCE QU'IL EST PLUS CHAUD !

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Dilatation thermique

 

 

http://www.obvcapitale.org/plans-directeurs-de-leau-2/2e-generation/diagnostic/section-3-problematiques-associees-a-la-quantite-et-a-la-securite/3-1-problemes-dapprovisionnement-en-eau-potable-en-quantite-suffisante

3.1 Problèmes d’approvisionnement en eau potable en quantité suffisante

 

Description de la problématique

Les bassins versants du territoire comptent de nombreuses sources d’approvisionnement en eau potable. Pour subvenir aux besoins des habitants, il existe plusieurs points de prélèvement d’eau, aussi bien en surface que souterrains. La très grande majorité du temps, ces sources d’approvisionnement suffisent à la tâche. Toutefois, en période de sécheresse prolongée, il peut survenir des problèmes pour l’approvisionnement en eau des citoyens. Des puits qui s’assèchent, des sources qui se tarissent, ou encore des cours d’eau et des lacs au niveau dramatiquement bas. Les autorités municipales doivent alors mettre en place des mesures d’urgence pour assurer un approvisionnement en eau potable à la population.

Nature et causes des problèmes ainsi que leurs effets

Bassin de la rivière Saint-Charles

Prise d’eau sur la rivière Saint-Charles

Nature du problème

Le lac et la rivière Saint-Charles représentent la source d’eau potable la plus importante pour la ville de Québec, alimentant plus de 237 000 personnes. La prise d’eau se situe à 11 km en aval du lac Saint-Charles à la hauteur du Château d’eau et son bassin versant fait environ 348 km2. La prise d’eau est alimentée par la rivière Saint-Charles ainsi que par les rivières Jaune et Nelson (Roche, 2010).

Le lac Saint-Charles constitue la réserve en eau brute de la Ville de Québec depuis 1834. Il a une superficie de 3,6 km2 et contient environ 9 milliards de litres d’eau.  En période de sécheresse prolongée, alors que l’eau puisée dans la rivière Saint-Charles peut représenter jusqu’à 98 % de son débit, le lac Saint-Charles est mis à forte contribution et il peut parfois descendre à un niveau critique. Ce fut notamment le cas en 2002. 

Causes

En 2002, une période de sécheresse prolongée pendant l’automne a amené la Ville à réagir face à une situation critique en matière d’approvisionnement en eau potable.

Figure 3.1.1 : Débits observés dans la rivière Saint-Charles, à l’aval de la prise d’eau, au cours de la période de sécheresse prolongée de 2002.

En 2010, c’est en raison des faibles quantités de neige tombées durant l’hiver et des conditions climatiques exceptionnelles de la saison estivale que la Ville de Québec a fait appel à ses installations de pompage à Saint-Gabriel-de-Valcartier afin d’alimenter la Nelson, via la rivière Jacques-Cartier (CBJC, 2011).

Figure 3.1.2 : Débits observés dans la rivière Saint-Charles, à l’aval de la prise d’eau, au cours de la période de sécheresse prolongée de 2010.

http://www.obvcapitale.org/plans-directeurs-de-leau-2/2e-generation/diagnostic/section-3-problematiques-associees-a-la-quantite-et-a-la-securite/3-1-problemes-dapprovisionnement-en-eau-potable-en-quantite-suffisante

 

 

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