23/11/2014 PACTE DE SANG QUE DIABLE AFFECTIONNE TOUT PARTICULIèREMENT, JC DU SACRé COEUR L'IMPOSA à MARIE ALACOQUE POUR ASSEOIR SON EMPRISE

COMMENTAIRES PERSONNELS :

ALORS QUE DEPUIS LE MOIS DE MAI 2014, YAHWEH M'A ANNONCé LA PRéPARATION DE L'HOMME, LE MÂLE QUI DOIT ÊTRE ENFANTé, ET COMME VOUS LE SAVEZ DéJà, CET HOMME HUMBLE, REMPLI D'HUMILITé, HONNÊTE, OBéISSANT COMME UN ENFANT à TOUT CE QUE YAHWEH RéVéLAIT DE MA BOUCHE

A COMMENCé à PARTIR DU MOIS DE SEPTEMBRE 2014 A ÊTRE COMPLèTEMENT DIFFéRENT :

IL éTAIT DEVENU RETORS à TOUTE PAROLE DE YAHWEH VENANT DE MOI, LA FEMME !

SA PRéPARATION NE SE FAISAIT QUE PéNIBLEMENT !

IL PRéFéRAIT ÊTRE PRéPARé PAR LES DEUX AUTRES DESCENDANTS DE LA FEMME, QUI VIVAIENT SELON LES COMMANDEMENTS ET QUI ONT REçU LE TéMOIGNAGE DE YECHOUAH, ET QUI SERAIENT ATTAQUéS PAR LE DIABLE, COMME CELA EST éCRIT DANS L'APOCALYPSE CONCERNANT L'ENFANTEMENT DE L'HOMME !

L'HOMME N'ACCEPTA PAS D'ÊTRE OINT AVEC LA CORNE D'HUILE, NI MÊME QUE J'APPOSE LES MAINS SUR LES SIENNES, NI LE SCEAU DE YAHWEH SUR LE FRONT, NI QUOI QUE CE SOIT VENANT DE MOI !

MAIS L'HOMME N'ACCEPTAIT JAMAIS QUE JE LE VOIE SEULE, IL FALLAIT TOUJOURS LA PRéSENCE DES DEUX AUTRES DES DESCENDANTS, OBLIGATOIREMENT, CAR C'éTAIT SA FAMILLE COMME IL DISAIT, ET QUE LE REGARD DE L'UN ET DE L'AUTRE éTAIT TRèS IMPORTANT POUR LUI !

ET IL PRéFéRAIT DéSOBéIR à YAHWEH POUR EUX !

MAIS L'HOMME ACCEPTAIT JUSTE QUE JE PARLE DE LA PAROLE, ET CELA SANS EXAGéRATION, CAR IL PARTAIT !

L'HOMME N'AVAIT PLUS AUCUN SENS DU JUGEMENT, PEU IMPORTE LES MéCHANCETéS ET INJUSTICES QUE LES DEUX AUTRES COMMETTAIENT ENVERS MOI, L'HOMME PRENAIT INCONDITIONNELLEMENT LEURS PARTIS, ET L'HOMME SE RANGEAIT TOUJOURS DE LEURS CÔTéS !!!

L'HOMME M'A CARRéMENT ECRIT POUR ME DIRE : QU'IL NE VOULAIT PLUS DE CETTE PRéPARATION SPIRITUELLE, QUE CELA NE L'INTéRESSAIT PAS !

ET QU'IL PRéFéRAIT QUE NOTRE CONVERSATION SE LIMITE à BONJOUR ET AU REVOIR !

ET SA CONDUITE éTAIT REBELLE ET PERVERSE, COMME JE L'AI DéJà EXPLIQUé, ET YAHWEH M'A DEMANDé DE M'éLOIGNER !

DANS LE MONDE SPIRITUEL, QUAND UN HOMME VOUS DIT QU'IL NE VEUT PAS RECEVOIR LA PAROLE DE YAHWEH, à CAUSE DU LIBRE ARBITRE, VOUS NE POUVEZ PLUS RIEN POUR LUI !

SAUF S'IL REVIENT SUR CETTE PAROLE !

MAIS CE MATIN, LE 23/11/2014 : YAHWEH M'A RAPPELé CE QUE L'HOMME SUR QUI J'AVAIS APPOSé LES MAINS IL Y A 19 ANS, L'UN DES AUTRES DESCENDANTS DE LA FEMME, QUI AVAIT REçU UN MAUVAIS ESPRIT IL Y A 2-3 ANS, comme je vous l'ai déjà expliqué sumer, retors, rebelle, chercher la Vérité ailleurs, des idoles, des images, le métal,

MAIS SURTOUT CE QU'IL M'AVAIT DIT IL Y A UN CERTAIN TEMPS :

SON GRAND AMOUR ET SA GRANDE AFFECTION POUR L'HOMME, ET QU'ILS éTAIENT VRAIMENT TRèS PROCHE COMME DES FRèRES ET IL AVAIT DES LARMES AUX YEUX QUAND IL PARLAIT, ET QU'ILS AVAIENT MÊME FAIT UN ECHANGE DE GOUTTES DE SANG ENTRE EUX !

MOI, JE CONNAIS CET HOMME, L'AUTRE DESCENDANT DE LA FEMME, ET J'AVAIS éTé éTONNéE DE TOUT CELA, CE GRAND AMOUR, ET CETTE GRANDE AFFECTIION, JUSQU'à L'ECHANGE DE GOUTTES DE SANG ENTRE EUX !

ET IL M'A MÊME DIT CE SOIR-Là, Où IL M'A DIT POUR LE PACTE AMICAL AVEC LA GOUTTE DE SANG, L'UNE SUR L'AUTRE :

LAISSE-LE MOI, S'IL TE PLAÎT ! CAR IL éTAIT QUESTION QUE JE PRéSENTE à L'ELU, L'HOMME, UNE FILLE SéRIEUSE, CAR à CE MOMENT-Là, YAHWEH NE M'AVAIT PAS ENCORE RéVéLé QU'IL éTAIT L'ELU, LE MESSIE !

JE T'EN PRIE, NE LA LUI PRéSENTE PAS, POUR UNE FOIS QUE J'AI UN AMI !

ET JE LUI AI RéPONDU : MAIS TU NE VAS QUAND MÊME PAS TE MARIER AVEC !!!

MOI, QUI CONNAÎT CET HOMME DEPUIS TRèS LONGTEMPS, JE VOUS ASSURE SA CONDUITE éTAIT BIZARRE ! C'éTAIT LA PREMIèRE FOIS QUE JE LE VOYAIS PARLER COMME CELA POUR UN AMI, CAR IL AVAIT D'AUTRES AMIS AUSSI ET DEPUIS LONGTEMPS, ET JAMAIS AUPARAVANT, IL N'A AGI AINSI AVEC AUCUN DE SES AMIS, ET ENCORE MOINS LE PACTE D'AMITIé AVEC DU SANG, ET UN BRACELET EN CUIR  !!!

ET CET HOMME, L'AUTRE DES DEUX DESCENDANTS DE LA FEMME, METTAIT BEAUCOUP D'OBSTACLES POUR QUE JE NE PUISSE PAS PRéPARER L'HOMME QUAND YAHWEH A RéVéLé QUI IL éTAIT; EN M'EMPÊCHANT DE LE VOIR, DE LE RENCONTRER, EN M'OBLIGEANT à M'HUMILIER DEVANT LUI POUR LUI DEMANDER L'AUTORISATION DE VENIR CHEZ LUI POUR LA PRéPARATION DE L'HOMME, IL FALLAIT QUE J'ACCEPTE SES HUMILIATIONS POUR QU'IL M'AUTORISE à VENIR CHEZ LUI, IL METTAIT DES FILMS à FOND PENDANT LE SOUPPER POUR éVITER QUE JE PARLE AVEC L'HOMME, ET LES MUSIQUES MéTAL à FOND CHAQUE FOIS QUE J'éTAIS Là, ET LES  ARRIVéES TARDIVES QUAND J'éTAIS CHEZ LUI, IL PRENAIT L'HOMME ET PARTAIT ET IL S'ARRANGEAIT TOUJOURS POUR QUE LE TEMPS SOIT éCOURTé EN L'INVITANT à BOIRE UN VERRE ALORS QUE J'ATTENDAIS CHEZ LUI, OU ALORS IL SAVAIT QUE J'ALLAIS ALLER CHEZ LUI, ET ILS PARTAIENT AILLEURS SANS ANNULER LE RENDEZ-VOUS, ETC,

IL ME DEMANDAIT AU TéLéPHONE D'ÊTRE PLUS GENTIL AVEC LUI QU'AVEC L'HOMME, DE LE METTRE LUI PLUS EN HONNEUR, CAR LUI éTAIT Là AVANT L'HOMME, ET QUE L'HOMME VENAIT SEULEMENT D'ARRIVER !

ET AVEC LE DEUXIèME AUTRE DESCENDANT, ILS INVITAIENT TOUT LE MONDE SAUF MOI PRESQUE SYSTéMATIQUEMENT AFIN QUE JE NE PUISSE PAS VOIR L'HOMME, 

ET JE ME RAPPELLE DE LEUR JOIE à CES DEUX AUTRES DESCENDANTS, QUAND L'HOMME M'A DIT QU'IL PRéFéRAIT ÊTRE PRéPARé PAR EUX, ET SANS MOI, ET QUE YAHWEH LUI PARLE DIRECTEMENT à LUI, SANS MOI ! ILS L'EMBRASSAIENT TOUS LES DEUX AVEC UNE GRANDE JOIE ET SATISFACTION !!!

ET EN L'ENTRAÎNANT DANS UNE CONDUITE NON SPIRITUELLE ! 

ILS BUVAIENT TOUS LES JOURS DU VIN ! 

IL OUVRAIT TOUJOURS DES SUJETS HORS CONTEXTE BIBLIQUE, SUJETS DISTORTIONNéS POUR EMPÊCHER QUE JE DONNE LA PAROLE DE YAHWEH, ALORS QUE MON TEMPS éTAIT LIMITé à 2 HEURES DE PAROLES, IL OUVRAIT DES SUJETS DE SUMER, DE PIERRE, DE PAUL, ETC ! SUJETS QUI DEMANDAIENT DU TEMPS ET SURTOUT LES EXPLICATIONS ANALYTIQUES QUI SONT SUR LES SITES ! ET DES IDOLES, ET DES IMAGES PARTOUT CHEZ LUI !

ALORS QU'IL SAVAIT TRèS BIEN POUR TOUT CELA CONCERNANT LES IDOLES ET LES IMAGES, IL M'A RAMENé EN CADEAU à SON RETOUR DE VACANCES, UNE IMAGE D'UNE SAINTE DE L'ENDROIT !

IMAGE QUE J'AI REFUSéE DEVANT L'HOMME, JE SENTAIS TOUJOURS QU'IL METTAIT TOUT EN OEUVRE POUR ME FAIRE PARAÎTRE MAUVAISE, EN SE MOQUANT DE MOI, EN PROVOQUANT TOUJOURS UNE IRRITATION, DES SUJETS OU DES COMMENTAIRES QUI M'IRRITAIENT ET QU'IL LE SAVAIT, ET TOUT CELA DEVANT L'HOMME QUI éTAIT NOUVEAU, POUR PROVOQUER CHEZ L'HOMME DE LA MéFIANCE VIS-à-VIS DE MOI !

L'HOMME ME DIT : JE N'ARRIVE PAS à DORMIR ! JE NE DORS PAS BIEN, PAS BEAUCOUP !

L'HOMME ME DIT : TU M'AS JETé UN SORT !!!

SUR CE, JE LUI AI éCRIS, JETER UN  SORT EST INTERDIT : JETER UN SORT à QUELQU'UN, C'EST DEMANDER AUX FORCES DE L'ADVERSAIRE, LE DIABLE ET SES DéMONS, D'ANNIHILER L'ESPRIT HUMAIN, D'ANNIHILER SA VOLONTé !! DE FAIRE FAIRE à CET HOMME DES CHOSES CONTRE SA VOLONTé, ET QU'IL SOIT IMPUISSANT, ET CELA EST INTERDIT PAR YAHWEH !

DE PLUS, L'HOMME AVAIT TOUJOURS BESOIN D'ÊTRE CHEZ CET HOMME, L'AUTRE DES DESCENDANTS, COMME SI CELA éTAIT IMPéRATIF ! L'HOMME LE SUIVAIT TOUJOURS PARTOUT ET DISAIT TOUJOURS "OUI" à TOUTES SES DEMANDES !!! 

APOCALYPSE 12:1

Un grand signe apparut dans le ciel : UNE FEMME vêtue du soleil, la lune sous les pieds et une couronne de douze étoiles sur la tête.

2 Elle est enceinte et elle pousse des cris de douleur dans LE TRAVAIL DE L'ENFANTEMENT.

3 Un autre signe apparut dans le ciel : c'était UN GRAND DRAGON COULEUR DE FEU, AVEC SES SEPT TÊTES ET DIX CORNES, ET SEPT DIADèMES SUR SES TÊTES.

4 Sa queue, entraînant le tiers des étoiles du ciel, les projeta sur la terre.

PUIS LE DRAGON SE TINT DEVANT LA FEMME QUI ALLAIT ENFANTER,

AFIN DE DéVORER SON ENFANT DèS QU'ELLE L'AURAIT MIS AU MONDE.

13 QUAND LE DRAGON SE VIT PRéCIPITé SUR LA TERRE, IL POURSUIVIT LA FEMME QUI AVAIT MIS AU MONDE L'ENFANT MÂLE.

14 MAIS LES DEUX AILES DU GRAND AIGLE FURENT DONNéES à LA FEMME POUR S'ENVOLER AU DéSERT, EN SON REFUGE, Où ELLE EST NOURRIE UN TEMPS, DEUX TEMPS ET UN DEMI-TEMPS, LOIN DU SERPENT.

15 LE SERPENT LANçA DE SA GUEULE, APRèS LA FEMME, DE L'EAU COMME UN FLEUVE, DANS L'ESPOIR QU'ELLE SERAIT NOYéE.

16 MAIS LA TERRE S'ENTROUVRIT ET ENGLOUTIT LE FLEUVE QUE LE DRAGON AVAIT LANçé DE SA GUEULE.

17 ALORS LE DRAGON, PLEIN DE FUREUR CONTRE LA FEMME, S'EN ALLA FAIRE LA GUERRE CONTRE LES AUTRES DE SES DESCENDANTS, CONTRE CEUX QUI GARDENT LES COMMANDEMENTS DE YAHWEH ET QUI DéTIENNENT LE TéMOIGNAGE DE YECHOUAH. 

LE PACTE DU SANG QU'IL AVAIT FAIT AVEC L'HOMME, L'ELU !!!

LE 23/11/2013 : C'EST MOI, YAHWEH, VOTRE ILOHIM, QUI VOUS PARLE :

J'AI LAISSé à L'HOMME TOUTES SES FACULTéS INTELLECTUELLES, AFIN QUE L'HOMME PUISSE SE RENDRE COMPTE DE CE QUI LUI EST ARRIVé DANS SA NAÏVETé, CAR L'ESPRIT DE L'ADVERSAIRE LUI A TENDU UN PIèGE, ET IL Y EST TOMBé !

DèS QUE L'HOMME AURA L'INTELLIGENCE DE DISCERNER ET DE COMPRENDRE LE PIèGE DU PACTE DU SANG ET SA CONDUITE QUI EN A DéCOULé,

S'IL VIENT AUPRèS DE LA FEMME, NOELLA, SION, AFIN DE PERMETTRE SON ENFANTEMENT, MOI, YAHWEH, QUI SUIS ASSIS SUR MON TRÔNE, J'ANNULERAI CE PACTE DE SANG QUE L'ESPRIT DE L'ADVERSAIRE A IMPOSé SUR L'HOMME, SUR LE MÂLE QUI DOIT ÊTRE ENFANTé !!!

AUJOURD'HUI, QUAND UN HOMME DéSOBéIT à MA PAROLE EN SION, ET QUE CELA IMPLIQUE DES CONSéQUENCES GRAVES ET DE GRANDS PéCHéS, COMME L'EMPÊCHEMENT DE LA PRéPARATION SPIRITUELLE DE MES ENFANTS, IL REçOIT SON DéMON, ET IL APPARTIENT à L'ADVERSAIRE !

LE PACTE DU SANG QUE LE DIABLE AFFECTIONNE ET QU'IL IMPOSE :

http://efforts.e-monsite.com/

http://efforts.e-monsite.com/pages/pacte-ecrit-et-signe-avec-le-sang-les-saignees.html

PACTE éCRIT ET SIGNé AVEC SANG DE ALACOQUE SOUS LA DICTéE ! ECRIT DE SON SANG : JE TE CONSTITUE HéRITIèRE DE MON COEUR ET DE TOUS SES TRéSORS

Ce fut vers cette époque que la Sainte reçut un gage nouveau de l'amour de son doux Maître, Un jour qu'elle était dans une grande souffrance, 

il lui dit : « Ma fille, ne t'afflige pas, car je te veux donner un gardien fidèle qui t'accompagnera partout et t'assistera dans toutes tes nécessités intérieures et qui empêchera que ton ennemi ne se prévaudra point de toutes les fautes où il croira de te faire tomber par ses suggestions, qui retourneront à sa confusion, grâce qui me donne une telle force qu'il me semble n'avoir plus rien à craindre, car ce fidèle gardien de mon âme m'assiste avec tant d'amour qu'il m'affranchit de toutes ces peines. Mais je ne le voyais que lorsque mon Seigneur me cachait sa présence sensible, pour me plonger dans les douleurs très rigoureuses de sa sainteté de justice.

C'était alors qu'il me consolait par ses familiers entretiens, me disant une fois :

— Je vous veux dire qui je suis, ma chère Soeur, afin que vous connaissiez l'amour que votre Époux vous porte.

Je suis un des sept Esprits qui sont les plus proches du trône de Dieu,

et qui participent le plus aux ardeurs du sacré Cœur de Jésus-Christ....

Une autre fois, il me dit : — Prenez bien garde qu'aucune grâce et caresse familière que vous recevez de notre Dieu ne vous fasse oublier de ce qu'il est et de ce que vous êtes ; car autrement je tâcherais moi-même de vous anéantir (1). »

Cette âme héroïque devait clôturer l'année 1678 par un acte solennel.

Notre-Seigneur, comme souverain Sacrificateur, lui commanda de faire en sa faveur un

testament ou donation entière, sans réserve et par écrit,

de tout ce qu'elle pourrait faire et souffrir, de toutes les prières et biens spirituels que l'on ferait pour elle, pendant sa vie et, après sa mort.

Le divin Maître entendait que la chose fût faite en règle.

Il fit demander par Soeur Marguerite-Marie à la Mère Greyfié si elle voulait bien servir

de notaire en cette affaire — qu'il se chargeait de la payer solidement.

Si la supérieure refusait, la Soeur devait s'adresser au Père de la Colombière. Mais la Mère Greyfié, après avoir pris le temps de réfléchir, s'y prêta très volontiers.Elle écrivit donc elle-même la pièce suivante :

« Vive Jésus dans le coeur de son épouse, ma Soeur Marguerite-Marie, pour laquelle, et en vertu du pouvoir que Dieu m'a donné sur elle,

j'offre et dédie et consacre purement et irrévocablement au sacré Coeur de

l'adorable Jésus tout le bien qu'elle pourra faire pendant sa vie, et celui qui sera fait après sa

mort, pour elle, afin que la volonté de ce Coeur divin en dispose à son gré et selon son bon

plaisir et en faveur de quiconque il lui plaira, soit vivant ou trépassé-;

ma Soeur Marguerite-Marie protestant qu'elle s'en dépouille volontiers généralement de tout, excepté la volonté

d'être à jamais unie au divin Coeur de son Jésus, et l'aimer purement pour l'amour de lui-

même.

En foi de quoi, elle et moi signons cet écrit, le dernier jour de décembre 1678.

Soeur Péronne-Rosalie Greyfié; à présent supérieure, et de laquelle ma Soeur Marguerite-Marie demandera

tous les jours la conversion à ce Coeur divin. et adorable, avec la grâce de la pénitence finale.

La Soeur ayant présenté cet écrit à Notre-Seigneur,il lui en témoigna un grand agrément et

lui dit que, puisque son amour l'avait dépouillée de tout, il ne voulait pas qu'elle eût d'autres

richesses que celles de son sacré Coeur et il lui en fit une donation à l'heure même,

me la faisant écrire de mon sang, selon qu'il la dictait,

et puis je la signai sur mon coeur avec un canif,

duquel j'y écrivis son sacré Nom de Jésus, » ajoute l'Autobiographie (1).

Consultons le Mémoire des Contemporaines. Nous y lirons ce qui suit :     

« Après cette donation faite, je la signai», dit-elle,

« sur mon coeur, comme mon divin Maître le voulait, et je la signe

encore ici : Soeur Marguerite-Marie, disciple du divin Coeur de L'adorable Jésus, lequel

s'étant donné à moi par la sainte communion, il me fit lire dans ce Coeur adorable ce

qui était écrit pour moi.

— Ce qui suit est écrit de son sang :

— Je te constitue héritière de mon Coeur

et de tous ses trésors pour le temps et l'éternité, te permettant d'en user

selon ton désir, et te promets que tu ne manqueras de secours que lorsque mon Coeur

manquera de puissance. Tu en seras pour toujours la disciple bien-aimée,

le jouet de son bon plaisir et l'holocauste de ses désirs, et lui seul sera le plaisir de tous tes

désirs, qui réparera et suppléera à tes défauts, et t'acquittera de tes obligations (2). »

 

Il a besoin d'être étudié pour être bien compris. En voici 'l'enchaînement logique. Soeur Marguerite-Marie présente

à Notre-Seigneur le testament en question et, dans un transport d'amour,

grave le saint Nom de Jésus sur son coeur.

Puis, elle signe en ces termes la pièce écrite par la Mère Greyfié : « Soeur Marguerite-Marie, disciple du divin Cœur de l'adorable Jésus. » Enfin, Notre-Seigneur, lui fait lire ce qu'il y a d'inscrit pour elle dans son sacré Coeur et lui fait écrire de son sang la donation ci-dessus :

« Je te constitue héritière,... » etc. L'Autobiographiecontinue :

« Après quoi, il me dit qu'il prendrait soin de récompenser au centuple tous les biens que l'on me ferait, comme faits pour lui-même, puisque je n'avais plus rien à y prétendre ; et que, pour récompense

à celle qui avait dressé ce testament en sa faveur,

il lui voulait donner la même récompense qu'à sainte Claire de Montefalco ; et que pour cela, [il] ajouterait à ses actions les mérites infinis des siennes,

et par l'amour de son sacré Coeur, il lui ferait mériter la même couronne. Ce qui me donna une grande consolation, parce que je l'aimais beaucoup, à cause qu'elle nourrissait mon âme abondamment du pain délicieux de la mortification et humiliation, qui était si agréable au goût de [mon] souverain Maître (1). »

Ce testament était daté du 31 décembre 1678. Presque à la même date, le Révérend Père de la 

Colombière, qui venait de se voir frustré de la gloire du martyre, mais avait, du moins, conquis la palme de confesseur de la foi, injustement accusé et banni d'Angleterre, reprenait le chemin de la France. Cette disgrâce entrait dans les desseins de Dieu, pour reconduire momentanément le saint jésuite dans la petite ville charolaise, à une époque où sa présence était singulièrement opportune.

La Mère Greyfié avait alors des craintes au sujet

de la Soeur Alacoque.

Elle les soumit au Père et voici comment il l'éclaira et la rassura : « Il me fit connaître qu'il n'hésitait pas de croire que ce qui se passait en cette chère Soeur ne fût vraies grâces de Dieu.

— Mais qu'importe, me dit-il, quand ce seraient

des illusions diaboliques,

pourvu que cela produise en elle les mêmes effets que font les grâces du Seigneur ?

Il n'y a nulle apparence à cela, me dit-il encore,

parce qu'il se trouverait que le diable,

en la voulant tromper, se tromperait lui-même,l'humilité, la simplicité, l'exacte obéissance

et la mortification n'étant point les fruits de l'esprit de ténèbres (1). »

Si ce retour passager de l'éminent religieux à Paray fut une consolation pour notre Sainte, il lui devint aussi l'occasion de manifester une fois de plus sa vertu consommée. Le Révérend Père souhaitant parler à Soeur Marguerite-Marie au confessionnal, pour être en particulier, la Mère Greyfié le permit très volontiers. Mais elle apprit bientôt qu'on s'en était fait de la peine » —  peine

 Et le Père de la Colombière, que, pensa-t-il de Soeur Marguerite-Marie ?

Le 23 mars 1679, il écrivait à la Mère de Saumaise : « Passant à Paray, je n'ai pu voir qu'une fois la Soeur Alacoque, mais j'ai bien eu de la consolation en cette visite. je la trouvai toujours extrêmement humble et soumise, dans un grand amour de la croix et du mépris.

Voilà des marques de la bonté de l'esprit qui la conduit,

et qui n'a jamais trompé personne (2). »

L'ange de ténèbres avait une haine marquée  

pour la disciple du Coeur de Jésus.

« Maudite que tu es, » lui dit-il un jour, je t'attraperai et si je te peux une fois tenir à ma puissance, je te ferai bien 

sentir ce que je sais faire ; je te nuirai partout (1). »

Désespéré qu'il était de n'avoir pu abuser cette âme, ni l'enlacer dans les filets de l'orgueil, il s'en était, depuis longtemps, pris à son corps, se donnant pour tâche de lui tendre des pièges en tout lieu.

D'abord, il la rendait à tout propos d'une maladresse extrême, lui faisant tomber des mains et casser les objets qu'elle tenait.

Plusieurs fois, il fut plus méchant encore. Un jour, il la poussa du haut d'un escalier, « tandis qu'elle portait; du feu dans un vaisseau de terre, qui ne se rompit point (2). » La confusion fut pour son ennemi et non pour elle, qui se trouva au bas de l'escalier, sans avoir même rien renversé, ni sans s'être fait aucun mal. Naturellement parlant, elle aurait dû se casser les jambes. Mais son saint ange était là qui veillait.

Elle dit tout simplement : «  Je sentis mon fidèle gardien qui me soutint (3). »

Le malin ne la laissait presque jamais tranquille

et la poursuivait aux récréations

comme ailleurs.

A différentes reprises, étant ensemble au chauffoir commun, plusieurs des religieuses virent tout d'un coup retirer l'escabeau sur lequel la Servante de Dieu était assise, sans qu'on n'aperçut l'être qui se jouait ainsi d'elle.

L'humble Soeur tombait alors à terre et reprenait paisiblement son siège ; mais le fait se réitérant un seul jour sur-le-champ jusqu'à trois fois, il fut impossible de ne pas reconnaître 

l'auteur de cette vexation. La Soeur de Lyonne s'avisa de dire : « Il faut que le démon s'en mêle ! » A quoi la Soeur Alacoque ne répondit que « par un souris (1). »

Notre-Seigneur l'avait prévenue que Satan avait demandé de l'éprouver comme l'or dans la fournaise, et qu'il lui avait tout permis, à la réserve de l'impureté ; mais que, pour toutes les autres tentations, il lui fallait être sur ses gardes, et qu'elle aurait surtout à subir celles dont le diable avait osé l'attaquer lui-même. Elle en fit la terrible expérience.

Il y a une haute leçon, cachée pour nous sous les humbles aveux d'une si grande âme.

« Je souffris pendant ce temps-là de rudes combats de la part du démon, qui m'attaquait particulièrement sur le désespoir, me faisant voir qu'une aussi méchante créature que moi ne devait point prétendre de part dans le paradis, puisque je n'en avais déjà point dans l'amour de mon Dieu, duquel je serais privée pour une éternité. Cela me faisait verser des torrents de larmes.

D'autres fois, il m'attaquait de vaine gloire, et puis de cette abominable tentation de gourmandise, me faisant sentir des faims effroyables ; et puis, il me représentait tout ce qui est le plus capable de contenter le goût, et cela dans le temps de mes exercices, ce qui m'était un tourment étrange. Et cette faim me durait jusqu'à ce que j'entrais au réfectoire pour prendre ma réfection, dont je me sentais d'abord dans 

un dégoût si grand, qu'il me fallait faire une grande violence, pour prendre quelque peu de

nourriture. Et d'abord que j'étais sortie de table, « ma faim recommençait plus violente qu'auparavant. »

Ce que voyant, la Mère Greyfié ordonna à cette parfaite obéissante de venir lui demander à manger, lorsqu'elle se sentirait plus pressée de la faim, « ce que je faisais avec des violences extrêmes, pour la grande confusion que je sentais, » rapporte la Sainte. « Et au lieu de m'envoyer manger, elle me mortifiait et humiliait fortement là-dessus, en me disant que je garderais ma faim pour la contenter lorsque les autres iraient au réfectoire. Après, je demeurais en paix dans ma souffrance (1). »

Non seulement Notre-Seigneur ne voulait pas diminuer la sensibilité ni les répugnances de Marguerite-Marie (2), mais il avait divinement pris ses mesures pour les aviver encore.

« Il voulait que je fusse dans un continuel acte de sacrifice, et que, pour cela, il augmenterait mes sensibilités et mes répugnances, en telle sorte que je ne ferais rien qu'avec peine et violence, pour me donner matière de victoire, même dans les choses les plus minces et indifférentes. Ce que je puis assurer avoir toujours éprouvé depuis. De plus, que je ne goûterais plus aucune douceur que dans les amertumes du Calvaire,

et qu'il me ferait trouver un martyre de souffrance 

dans tout ce qui pouvait composer la joie, le plaisir et la félicité temporelle des autres.

Ce qu'il m'a fait éprouver d'une manière très sensible, puisque tout ce qui [se] peut nommer plaisir, me devint un supplice (1). »

Une fois, Notre-Seigneur lui fit entendre qu'il la voulait retirer dans la solitude, non celle d'un désert, mais celle de son sacré Coeur, et il lui demanda de jeûner cinquante jours au pain et à l'eau, pour honorer son jeûne dans le désert. Elle n'en put obtenir la permission, cette singularité ne cadrant pas avec les usages ordinaires.

Alors, son Époux divin l'assura qu'il aurait comme très agréable qu'elle passât cinquante jours sans boire, pour rendre hommage à la soif que son Cœur sacré a du salut des pécheurs.

La courageuse Sœur Alacoque commença donc cette pénitence, mais on ne la lui laissa pas achever pour cette première fois. Plus tard, elle eut congé de la recommencer et d'aller jusqu'au bout des cinquante jours. Elle passait de même les vendredis sans boire, depuis le jeudi soir jusqu'au samedi matin, ce qui était d'autant plus extraordinaire qu'elle était plus habituellement travaillée d'une soif dévorante. Elle continua longtemps cette pratique, jusqu'à ce que la Mère Greyfié, jugeant de son devoir de la lui défendre, lui donna l'obéissance de boire trois ou quatre fois entre les repas, tous les jours.

Mais, pour obéir et souffrir tout ensemble, Sœur Marguerite-Marie s'avisa de boire de l'eau où on lavait 

vaisselle, et même la lessive. Une Soeur, l'ayant prise sur le fait, en prévint la supérieure, qui sut bien encore,

en cette rencontre, gratifier l'innocente coupable d'une énergique réprimande.

La parfaite loyauté de la Mère Péronne-Rosalie à dépeindre la sévérité de sa conduite envers la Servante de Dieu donne à ses récits un charme plein d'une mâle saveur. Nous allons encore en goûter quelque chose.

Il est question de la mystérieuse douleur de côté que la Sainte portait continuellement, et que Notre-Seigneur lui avait prédit ne

pouvoir être soulagée que par la saignée. « Je l'ai vue pressée de sa douleur, se tenir en paix, sans demander la saignée, à

laquelle nos Soeurs et moi aussi avions de la répugnance, parce qu'il la lui fallait faire trop souvent.

On s'en prenait à elle; comme si ç'avait été un remède attaché à sa fantaisie, plutôt que propre à son mal. Elle a eu de bonnes occasions à ce sujet de souffrir et de patienter en silence, comme elle faisait entre Dieu et elle. Moi-même, une fois, je m'obstinai à ne vouloir pas qu'elle fût saignée.

On lui fit plusieurs autres remèdes, qui ne servirent qu'à aigrir sa douleur. Elle en vint à un vomissement de toutes sortes d'aliments qu'on pût lui donner, même la confection d'hyacinthe. Elle ne refusait rien de tout ce qu'on lui donnait pendant deux ou trois. jours, ni ne se plaignit jamais d'être dans ce pauvre état, faute de lui vouloir faire une saignée.

 

Quand je lui en parlai : — « Ma Mère, » me dit-elle, « je sais bien qu'il n'y a que ce remède qui me soulage : mais je ne le désire pas, si Votre Charité ne le veut (138) pas, parce que mon Jésus vous fait vouloir tout ce qu'il veut pour moi. Je suis bien aise de souffrir tant qu'il lui plaira. »

A la fin, le mal l'ayant réduite dans l'état de ne pouvoir presque plus respirer ni parler, et ses vomissements dans une grande faiblesse, je la conduisis à l'infirmerie, où on ne lui eut pas plus tôt tiré une palette de sang qu'elle reprit la liberté de la respiration et de la parole, et se trouva si vigoureuse, qu'aussitôt que son bras fut bandé, elle aurait voulu que je lui eusse permis d'aller à la suite de la Communauté......

 

 

 SUITE ! 

http://livredevie.e-monsite.com/pages/23-11-2014-le-pacte-du-sang-que-le-diable-affectionne-tout-particulierement-comme-jesus-christ-et-marie-du-sacre-coeur-l-imposerent-a-alacoque/pacte-de-sang-comment-vendre-son-ame-au-diable-invoquer-satan-litteratures.html

 

 

 

 

 

 

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