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EN GUISE DE SACRIFICE AU DIABLE : DU SANG MéLANGé à DU VIN ROUGE : LA SAINTE COMMUNION : VIN ROUGE : SYMBOLE DU SANG DU CHRIST ???

COMMENTAIRES PERSONNELS :
YAHWEH AVAIT DIT à MOÏSE : LE GRAND PRÊTRE NE BOIRA PAS DE VIN DANS MA DEMEURE, AFIN QU'IL PUISSE DISCERNER LE BIEN DU MAL, LE PUR DE L'IMPUR,
LE LICITE DE L'ILLICITE, LE JUSTE DE L'INJUSTE !!!!!
 
Vous avez besoins de douze bougies et d'une goutte de sang.
Disposez les douze bougies en forme de croix satanique, placez au centre une coupe de vin rouge et récitez : " Oh Satan, maître divin du royaume malin, notre envoûtement tu dois libérer et ta colère nous donner. Oh Satan, viens, viens, viens te joindre à nous pauvres mortels ". Éteignez toutes les bougies se situant sur un croisement*. Prenez une goutte de sang et mélangez-la au vin en guise de sacrifice. Si le tout a été réalisé proprement, Satan devrait répondre à toutes sortes de questions.
 
 

La communion désigne l'acte de recevoir le pain et le vin en mémoire du dernier repas du Christ avec ses disciples, la veille de sa Passion. Le fait de communier signifie concrètement que le communiant reçoit une hostie de la part du prêtre (chez les catholiques et les orthodoxes) ou de la part du pasteur (chez les protestants).

Le rite par lequel on célèbre cet évènement s'appelle la messe chez les catholiques et chez les orthodoxes. Il est appelé la Cène chez les protestants (ou Sainte Cène).

L'interprétation théologique de la communion varie selon les Églises chrétiennes.

Les catholiques et les orthodoxes croient en la transsubstantiation, les luthériens en la consubstantiation tandis que pour d'autres protestants tiennent la communion pour un acte purement symbolique.

Les paroles rituelles de la consécration du rite romain ne sont pas tirées des évangiles, mais de la première épitre de saint Paul aux Corinthiens2C’est de là que vient la tradition de certains clercs d’appeler cette épître le cinquième évangile.
 
Pour l'Église catholique, c'est au cours de ce repas que Jésus a institué le sacrement de l'eucharistie qui commémore sa mort et sa Résurrection
 

Façons de recevoir la communion

Sous les deux espèces

En Orient, la communion sous les deux espèces pour les fidèles a toujours eu lieu (on parle « d’Espèces eucharistiques » pour désigner le pain et le vin, en utilisant une catégorie philosophique médiévale).

Cette communion au sang du Christ a disparu peu à peu en Occident pendant le Moyen Âge et fut finalement interdite par le Concile de Constance en 1415 (en réaction contre le mouvement hussite qui la pratiquait et la revendiquait énergiquement).

Par la suite, les protestants ayant adopté cette communion au pain et au vin3, elle ne fut plus pratiquée dans l’Église catholique et la question ne fut plus vraiment discutée dans l’Église catholique jusqu’au Concile Vatican II (qui l’encourage dans certains cas, cf. Sacrosanctum Concilium no 55). Les toutes dernières normes liturgiques n’indiquent plus aucune restriction dogmatique pour cette communion sous les deux espèces. 
 
Pour donner la communion sous les deux espèces, le prêtre peut donner la communion, soit en faisant boire le fidèle directement au calice, soit en trempant l’hostie consacré dans le calice et en la donnant au fidèle. Ce deuxième geste est désigné sous le nom d'intinction. L'usage courant pour la communion par intinction est que le fidèle trempe lui-même l'hostie, ce qui a des inconvénients pratiques si le geste est mal fait. L'instruction Redemptionis Sacramentum rejette cette manière de faire (§ 104). Un troisième geste est possible mais non pratiqué en Occident, la communion à l'aide d'un « chalumeau » eucharistique (petit tuyau en métal faisant office de paille, parfois en or ou argent) ou d'une cuiller.
 
 

Sous une seule espèce

L'usage ancien est certainement celui d'une distribution de pain consacré, distribution faite par le prêtre ou le diacre, à l'image d'un repas. Les bribes d'informations rassemblées vont dans ce sens jusqu'au troisième siècle.

À partir de la paix de l'Église (313), la liturgie devient plus publique et regroupe des assemblées plus larges. Le texte toujours cité à propos de la communion est celui de Cyrille de Jérusalem (315-386). Le but du propos est la valorisation de l'acte de communier et la dignité du pain et du vin consacrés.

« Lorsque tu t'avances, ne t'approche pas les mains grandes ouvertes, ni les doigts écartés ; mais avec ta main gauche, fais un trône pour la droite qui va recevoir le Roi. Reçois le corps du Christ dans le creux de ta main et réponds « amen ».

Avec soin, sanctifie alors les yeux par le contact du corps sacré. Prends-le, veille à n'en rien perdre. En effet si tu en perdais une parcelle, ce serait comme si tu perdais l'un de tes membres ! Dis-moi, si on te donnait des paillettes d'or, est-ce que tu ne les garderais pas avec le plus grand soin, en veillant bien à ne pas en perdre, pour ne pas subir de dommage ! Ne dois-tu pas être plus attentif encore à ce qui est bien plus précieux que l'or et les pierres précieuses pour ne pas en laisser tomber une miette ?

Puis après avoir communié au corps du Christ, approche-toi aussi de la coupe de son sang. Ne tends pas les mains, mais incline toi en attitude d'adoration et de respect et dis « amen ». Sanctifie-toi aussi par la participation au sang du Christ.

Et tandis que tes lèvres sont encore humide, effleure-les de tes doigts et sanctifie tes yeux, ton front et tes autres sens. Puis, en entendant la prière, rends grâce à Dieu qui t'a jugé digne de si grands mystères. »

 
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L'histoire des Églises évangéliques s'inscrit dans le grand mouvement de la Réforme protestante du xvie siècle en Europeavec Martin Luther et Jean Calvin qui demeurent les deux figures emblématiques de cette période.

Par la suite, d'autres réformateurs se sont levés pour contester ce qu'ils considéraient alors comme une dérive libérale du protestantisme de leur temps. Dans cette « Réforme radicale », ces chrétiens sont en accord avec Martin Luther et Jean Calvin sur certains points essentiels de la doctrine évangélique, mais ne se considèrent pas pour autant leurs successeurs et encore moins leurs disciples.

Au fil des siècles, ces « dissidents » de la mouvance protestante se sont assemblés dans différentes communautés ditesévangéliques, plus autonomes, plus conservatrices et plus piétistes que les églises réformées traditionnelles.

Naissance et développement du pentecôtisme

À la fin du XIXe siècle, des Églises revivaient l'expérience de la Pentecôte en Arménie, aux Indes, en Chine, au Chili, bien que sans personnalités marquantes comme Luther ou Wesley l'avaient été en leur temps.

Il est impossible de fixer une origine unique au "pentecôtisme" moderne. Ni le grand Réveil du Pays de Galles, en 1904, qui sortit la chrétienté évangélique de sa torpeur ; ni le Réveil de Asuza Street à Los Angelès, en 1906, qui attira des observateurs du monde entier, ne peuvent être considérés comme les seules sources historiques contemporaines du mouvement de Pentecôte.

Ce mouvement se caractérise par la redécouverte de la dimension charismatique, c'est-à-dire du baptême dans le Saint-Esprit et des dons spirituels (1 Corinthiens 12 v 9 à 11) , comme au jour de la Pentecôte, selon le récit du Nouveau Testament (Actes 2). De fait, en plus des textes des Actes des apôtres, de l'épitre aux Corinthiens... ce phénomène n'était pas nouveau puisque plusieurs pères de l'église parlaient eux aussi de dons spirituels et de glossolalie dans leurs écrits ou lettres (Irénée de Lyon, Clément de Rome, Tertullien...).

  • Tertullien, Contre Marcion, III, 239.
  • Irénée de Lyon, Contre les Hérétiques, I, 409.
  • Chrysostome, Homélie sur l’Épître de Paul aux Corinthiens.

Le réveil du pays de Galles (Grande-Bretagne en 1904 est un évènement marquant qui a contribué au développement du pentecôtisme. Par ailleurs en 1901 aux EU, un pasteur méthodiste (le méthodisme a été développé en Grande-Bretagne par Wesley), Charles Parham, créa une école biblique à Topeka en Kansas. C'est là qu'en recherchant la communion avec l'Esprit sain, les membres de l'Église virent des manifestations de langues de feu et s'exprimèrent en "langues".

En France, l'église évangélique de Pentecôte la plus présente est appelée "Assemblée de Dieu".

Vers 1960, ce courant charismatique va avoir, d'abord aux États-Unis puis en Europe et un peu partout dans le monde, une influence sur les autres églises non pentecôtistes, les églises protestantes, mais aussi l'Église catholique romaine et l'Église orthodoxe, avec la naissance du « Renouveau charismatique ». À la différence de ce qui s'était passé précédemment, ce renouveau va se développer à l'intérieur des églises d'origine, où il sera accueilli de façon diverse.
 
  • La conversion

Selon les pentecôtistes, l'Esprit Saint vient habiter en tous ceux qui sont véritablement sauvés et travaille à travers eux. Les pentecôtistes croient que les individus destinés à rejoindre la « vraie Église » expérimentent d'abord, d'une façon ou d'une autre, une compréhension profonde de ce que le Christ a fait, de ce que le Christ Sauveur est; et tiennent cette révélation en tant que Vérité absolue. Cette « reconnection », qui change radicalement le cœur et la perception de la vie telle qu'elle est, induit la repentance essentielle à la rémission des péchés. L'individu, nouvellement sauvé par sa regénération continue, seconvertit progressivement et finit par intégrer le « Corps du Christ » en rejoignant l'Église.

  • Le baptême de l'eau

Le converti se soumet généralement à une prière de repentance. Quelques mois plus tard, il reçoit le baptême de l'eau. Symbolisant la mort au Monde et la renaissance au Christ, il est avant tout un rite de reconnaissance par la communauté de ce que l'Esprit Saint a déjà fait/baptisé en venant habiter l'individu.

  • Le Baptême dans le Saint-Esprit

A la différence de la plupart des autres chrétiens, les pentecôtistes croient qu'il existe une deuxième œuvre du Saint-Esprit, le Baptême dans le Saint-Esprit, qui ouvre le croyant à une communion plus étroite avec le Saint-Esprit et l'habilite au service chrétien. Le Saint-Esprit vient infuser pleinement l'individu et ce baptême est manifesté par le don du parler en langues. Ce baptême vient souvent après celui de l'eau mais peut parfois arriver en même temps que celui-ci, voire le précéder.

Emphase sur les Dons spirituels

Les pentecôtistes insistent sur les dons accordés par le Saint Esprit (considéré comme manifestation spirituelle et continue de Dieu dans l’histoire humaine et dans les histoires des vies humaines), grâces surnaturelles nécessaires à chaque chrétien afin qu'il œuvre à la mission de l'Église. Tels que présentés dans le Nouveau Testament, surtout dans les écrits pauliniens et les Actes des Apôtres, les principaux dons sont :

  • La parole de sagesse : Paroles ou message surnaturellement accordés à un individu. Pour Paul de Tarse, la sagesse correspond à la « sagesse que nous prêchons parmi les parfaits, sagesse qui n'est pas de ce siècle, ni des chefs de ce siècle, qui vont être anéantis; nous prêchons la sagesse de Dieu, mystérieuse et cachée, que Dieu, avant les siècles, avait destinée pour notre gloire ». (Première épître aux Corinthiens 2 et Épître aux Éphésiens 1:17) ;
  • La parole de connaissance : Capacité à comprendre aux mieux les Écritures et la doctrine chrétienne. Pleinement développée, elle permettrait à son bénéficiaire de saisir ce que Dieu souhaite ou fait pour autrui. (Première épître aux Corinthiens 12:8) ;
  • La foi ;
  • La guérison miraculeuse par imposition des mains : Les pentecôtistes insistent aussi sur l'imposition des mains aux malades, et croient en une possible guérison divine lorsque la médecine moderne est inefficace, mais pas seulement dans ce cas. En effet cette guérison peut se manifester dans le cas d'une impuissance de la médecine à guérir la personne malade mais aussi dans le cas de maladies pouvant très bien être soignées par la médecine. La véritable condition à la guérison divine est la volonté de Dieu pour la personne et la foi (sans foi pas de miracles). Invoquant l'histoire de l'Église, le Dr. Dale A. Robbins refute l'affirmation selon laquelle les dons charismatiques auraient disparu peu après l'âge apostolique. Pour cela, il cite Irénée de Lyon (130-202) qui écrivait : « … on entend plusieurs frères dans l'Église qui ont des dons de prophétie, et qui parlent en langues par l'Esprit, et qui amènent également à la lumière les choses secrètes des hommes pour leur bénéfice… ». Il cite également la phrase du même Irénée : « Lorsque Dieu le jugeait nécessaire, et que l'Église priait et jeûnait beaucoup, ils accomplirent des choses miraculeuses, jusqu'à ramener l'esprit à un homme mort. » D'après lui, Tertullien (155-230) rapportait des événements semblables, tout comme Origène(182-251), Eusèbe de Césarée (260-339), Firmilien (232-269) et Jean Chrysostome (347-407)1.
  • La prophétie ;
  • Le discernement des esprits ;
  • et les dons des langues (glossolalie ou/et xénoglossie) : Le parler en langues, aussi appelé glossolalie, est la première preuve (mais pas la seule preuve, ni une preuve suffisante) du baptême du Saint-Esprit. La plupart des principales Églises pentecôtistes acceptent également le corollaire que ceux qui ne parlent pas en langues n'ont pas reçu la bénédiction du baptême dans le Saint-Esprit. Cette affirmation est propre aux pentecôtistes et constitue l'une des différences avec la théologie charismatique. Une autre forme de ce don, la xénoglossie, est la compréhension miraculeuse de langues étrangères.

Sacrements

  • Ces sacrements (les anglo-saxons utilisant plutôt le terme ordonnances), au nombre de deux, sont le baptême (par l'eau) et la Sainte-Cène.
  • Les pentecôtistes ont adopté la conception calvinisto-réformée de la Sainte-Cène en la percevant à la fois, comme un rappel du Saint-Sacrifice du Christ, un rappel/renouvellement de la Nouvelle Alliance et un moment de foi particulier des fidèles qui partagent ce banquet assorti d'une introspection repentante. Ils reconnaissent donc qu'elle est un mémorial aux aspects eucharistiques et latreutiques mais réfutent toute possibilité de sacrifice propitiatoire.
FEPIB
 

LA FEPIB

1° LA  BIBLE : Nous croyons que  la Bible est la parole infaillible inspirée de Dieu.

2° DIEU: Nous croyons à l’existence d’un seul Dieu, qui était, et demeure dans l’éternité   en trois personnes : Le Père, le Fils et le Saint -Esprit.

3°JESUS:   Nous croyons qu’Il est né d’une vierge, nous croyons à sa mort rédemptrice, à Sa  résurrection dans le corps’ à son ascension triomphale ; nous croyons qu’Il intercède continuellement en notre faveur et qu’il revient pour l’enlèvement de son église et pour l’accomplissement de toutes choses.

4° LE SALUT: Nous croyons en la chute de l’homme par le péché et son salut par le sang de Jésus comme seul moyen de rédemption. Cette expérience connue sous le nom de conversion et de nouvelle naissance est une œuvre du Saint –Esprit par la repentance et la foi en Jésus-Christ

5° LE BAPTEME: Nous croyons que le baptême se prend par immersion au nom du père, du fils, et Nous croyons en Dieu Unique, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, Nous croyons en Jésus-Christ, notre Seigneur et Sauveur, Nous croyons au Saint-Esprit. Le Baptême d'eau par immersion et du Saint- Esprit avec signe initiale de parler en d'autres langues. La guérison miracle par la prière et imposition des mains, Sainte communion, Le Baptême uniquement réservé aux personnes adulte du Saint -Esprit par toute personne qui s’est repentie et croit de tout cœur à Jésus-Christ comme Seigneur et Sauveur personnel.(Marc16:19)

6° L’EGLISE: Nous croyons que tous les chrétiens authentiques appartiennent à l’église de Jésus-Christ. Nous croyons que tout chrétien né de nouveau et baptisé devrait être membre d’une église locale ayant la Bible  pour fondement.

7° LE BAPTEME DU SAINT  ESPRIT: Nous croyons au Baptême du le Saint -Esprit  selon Acte 2 :4

8° LES FRUITS DE L’ESPRIT: Nous croyons qu’un chrétien  authentique aspire à mener une vie de sanctification par la puissance de la rédemption, et qu’il est reconnaissable au fruit de l’Esprit, selon Gal. 5 :22

10° LES DONS  SPIRITUELS: Nous croyons que Dieu agit par les dons, les services et autres manifestations dans l’église pour le bien des croyants, pour l’équipement au service, à l’édification et la préparation de l’église. (1 corinthiens 12 :4-6)

11° LA GUERISON: Nous croyons que le salut inclut la guérison des maladies par intervention divine

12° LA RESURRECTION: Nous croyons à la résurrection : la gloire éternelle pour toute personne qui accepte le salut divin en Jésus- Christ  et à la condamnation pour toute personne n’ayant pas cru en Jésus-Christ.

 Nous sommes dans le ministère spirituel de puissance et de la réconciliation de l'homme avec  Dieu par le message de l'Evangile de notre Seigneur Jésus-Christ.

AVERTISSEMENT :

le baptême du Saint - Esprit, est un don que le Père avait promis et qui est reçu gratuitement dans la seule volonté de Dieu. Il appartient aussi aux enfants de Dieu de le demander  par la prière dans l'obéissance à la Parole de Dieu. Il ne se donne pas par les attouchements où par les démonstrations. N'as rien à voir des attouchements de la gorge des chrétiens et des répétitions des paroles qui proviennent de la pensée et de la philosophie humaine. Il se communique par l'imposition des mains et par la prière; En principe, c'est Jésus-Christ qui baptise du Saint-Esprit.(Jean,1 :33) ; (Actes. 8 :14-17)

 
 
 
 
 SUITE ! 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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